En Polynésie française, la situation est de plus en plus difficile pour les patients dans l'attente d'un nouvel organe. La loi se précise en faveur des personnes en attente d'organes en rendant le refus plus contraignant.
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La décision a été validée en conseil des ministres, vendredi 28 décembre. En Polynésie française comme en Métropole, le prélèvement don d'organes pourra désormais être effectué sauf si la personne a fait connaître son refus de son vivant. Cette précision dans la législation du don d'organes doit permettre de faciliter le processus et changer la vie des transplantés.
Si la législation évolue, dans l’esprit de la population, le don d’organes reste néanmoins difficile à accepter. En 2018, il y a eu seulement 13 greffes de rein, dont 8 à partir de personnes qui n’avaient exprimé ni consentement, ni refus.
Si la législation évolue, dans l’esprit de la population, le don d’organes reste néanmoins difficile à accepter. En 2018, il y a eu seulement 13 greffes de rein, dont 8 à partir de personnes qui n’avaient exprimé ni consentement, ni refus.
Don d'organes : des modalités plus contraignantes en cas de refus
Don d'organes : des modalités plus contraignantes en cas de refus