Une chercheuse du CRIOBE de Moorea s’intéresse à la pollution lumineuse des zones littorales.
La lumière est une source de pollution méconnue mais bien réelle du monde sous marin. Les scientifiques estiment que 22% des côtes de la planète en sont victimes. Une scientifique de l’antenne du Centre de Recherche Insulaire et Observatoire de l’Environnement de Moorea, étudie l'impact de l’éclairage artificiel sur certaines espèces de poissons.
Ses travaux lui ont permis d’obtenir des crédits et des équipements pour approfondir ses recherches. Créé en 1971, le CRIOBE est, depuis 2013, une unité de recherche et de services du CNRS. Il associe des enseignants-chercheurs, des chercheurs et des personnels administratifs et techniques appartenant aux plus grands centres de recherche français.
Ses activités s’exercent à travers de multiples disciplines : l'écologie, la génétique, la chimie et la compréhension des récifs coralliens.
Ses travaux lui ont permis d’obtenir des crédits et des équipements pour approfondir ses recherches. Créé en 1971, le CRIOBE est, depuis 2013, une unité de recherche et de services du CNRS. Il associe des enseignants-chercheurs, des chercheurs et des personnels administratifs et techniques appartenant aux plus grands centres de recherche français.
Ses activités s’exercent à travers de multiples disciplines : l'écologie, la génétique, la chimie et la compréhension des récifs coralliens.
Les éco systèmes marins victimes de pollution lumineuse
Les éco systèmes marins victimes de pollution lumineuse