Chaque année, SOS Suicide reçoit environ 1500 appels en Polynésie, avec plus de 300 tentatives de suicide.
Elle explique que le lien social est crucial, et son association organise des suivis psychologiques ainsi que des événements pour sensibiliser. Elle met en évidence les causes telles que les ruptures amoureuses, le harcèlement scolaire, et le manque de préparation des jeunes face à l’éveil sexuel. Annie Tuheiava insiste sur l’importance de l’éducation et du respect à la maison.
SOS Suicide forme également des “sentinelles” pour repérer les signes de détresse et propose des psychothérapies financées par l’association. Elle mentionne que les appels concernent souvent des ruptures amoureuses, mais aussi des cas liés au rejet des jeunes LGBTQ+ par leur famille.
Harcèlement, ruptures amoureuses, rejet des jeunes LGBTQ+, ce sont des causes de mal-être chez nos jeunes. Il faut être vigilant par rapport au harcèlement, il faut apprendre à nos enfants tout petit ce qu'est le respect.
Annie Tuheiava répond aux questions d'Ibrahim Ahmed Hazi en français :
Annie Tuheiava répond aux questions de Corinne Tuheiava en tahitien :