Marie-Hélène Villierme, photographe et réalisatrice (elle a notamment signé L’élu du peuple, Pouvanaa te metua, Prix du public au Fifo 2012), remplace au pied levé l’écrivain franco-congolais Alain Mabanckou à la présidence du jury de cette 20e édition.
Le 20e FIFO s’est achevé ce week end, la présidente du FIFO dresse le bilan positif de ce rendez-vous patrimoine audiovisuel océanien.
La semaine a été intense avec le jury. On a visionné tous les films en compétitions mais nous n'avions pas eu le temps de rencontrer le public ou des professionnels. Ces films en compétitions ont été un bon cru ! L'expérience a été enrichissante.
Les films étaient très différents, il y a eu différentes thématiques abordées à cette 20e édition du FIFO. La difficulté a été d'évaluer chacun de ces films.
Le FIFO c'est de puiser dans les racines des cultures, des richesses des peuples et en même temps s'adresser à un public qui est au-delà de nos frontières, de s'ouvrir vers l'universalité. Il y a toujours cette quête chercher au coeur de nous-même et s'adresser à un public le plus large.
Marie-Hélène Villierme est interrogée par est interrogée par Ibrahim Ahmed Hazi :