Les femmes et les enfants abusés et battus sont les causes qu’elle veut défendre. De retour à Tahiti, Mareva Georges-Marciano veut aider les associations de l’île par l’intermédiaire de sa fondation « Paul et Mareva ». Ce matin, elle était au village d'enfants Tuianu Le Gayic, à Papara.
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Cela fait 10 ans que le président de l'association "SOS Village d'enfants", Georges Siu, en parle : les jeunes adultes qui sortent du village enfants Papara ont besoin d’une structure d’accompagnement vers l’autonomie, c'est-à-dire de logements pour pouvoir quitter le village et les mamans de substitution.
Il a profité de la visite de Mareva Georges-Marciano pour lui parler de son projet :
L'ancienne miss Tahiti et miss France souhaite aider les associations de Tahiti, notamment lorsqu’il s’agit d’enfants et de femmes battus et abusés. Au travers de la fondation qu’elle a créée avec son mari, « Paul et Mareva », elle veut aider financièrement.
Ce matin, Mareva Georges-Marciano a vu le travail du Village d'enfants Tuianu Le Gayic de Papara et a été conquise :
Le centre d’accueil a besoin d'aide à bien des niveaux (17 millions Fcfp pour les toitures qui fuient !), mais la direction veut concentrer ses efforts sur les logements pour jeunes adultes, car aucune structure de ce type n’existe en Polynésie française. Pourtant, les jeunes qui sortent du centre rencontrent les mêmes problèmes que les autres, en plus de ceux qu’ils ont déjà. Eux dont les parents ont été défaillants, ont véritablement besoin de cette structure d’accompagnement.
Mareva George au village d’enfants de Papara
Il a profité de la visite de Mareva Georges-Marciano pour lui parler de son projet :
L'ancienne miss Tahiti et miss France souhaite aider les associations de Tahiti, notamment lorsqu’il s’agit d’enfants et de femmes battus et abusés. Au travers de la fondation qu’elle a créée avec son mari, « Paul et Mareva », elle veut aider financièrement.
Ce matin, Mareva Georges-Marciano a vu le travail du Village d'enfants Tuianu Le Gayic de Papara et a été conquise :
Le centre d’accueil a besoin d'aide à bien des niveaux (17 millions Fcfp pour les toitures qui fuient !), mais la direction veut concentrer ses efforts sur les logements pour jeunes adultes, car aucune structure de ce type n’existe en Polynésie française. Pourtant, les jeunes qui sortent du centre rencontrent les mêmes problèmes que les autres, en plus de ceux qu’ils ont déjà. Eux dont les parents ont été défaillants, ont véritablement besoin de cette structure d’accompagnement.