En Métropole, une loi de janvier 2004 sur la sécurité des piscines oblige d’avoir : soit une clôture, soit un dispositif électronique de sécurité. Un manquement à cette obligation est sanctionné par le code pénal.
Le territoire reste encore prudent sur la mise en place d’une telle législation et préfère laisser encore la liberté aux Polynésiens d’installer ou pas un système de protection.
D'abord légiférer
Ludovic Boiron, directeur de Pacific piscine, est un vendeur expérimenté qui a installé 2 500 piscines chez des particuliers et hôteliers. Il a opté pour des moyens de protection physique efficaces selon lui, comme cette sorte de rideau intégral. "Ca accepte le poids d'une personne. Si elle monte ou tombe, la couverture va légèrement s'enfoncer mais elle ne va pas couler", détaille ce spécialiste.
Tous les budgets
Couverture flottante pour les gros budgets, ou une barrière de protection pour petits portefeuilles, en général, il en vend très peu voire pas du tout. Mais "ça peut supporter le poids d'un enfant qui se jette sur la barrière", ajoute Ludovic Boiron.
En fait, "ces achats se font quand un malheur a eu lieu...ils permettent de protéger les enfants qui ne sont pas dans la famille et ne connaissent pas vraiment le danger".
De tels dispositifs de protection ne doivent pas remplacer la vigilance d’un adulte.