Teahupo'o sous l'objectif de Tim Pruvost : un réalisateur passionné par le surf

Teahupo'o sous l'objectif de Tim Pruvost : un réalisateur passionné par l'extrême
A partir du 26 juillet, suivez l'extraordinaire aventure de Teahupo’o à travers le regard expert de Tim Pruvost, réalisateur de l'émission incontournable « Teahupo’o : la vague mythique ». Depuis plus de 23 ans, Tim arpente ce paradis du surf, vivant chaque moment marquant du spot avec passion et dévotion.

À l'aube ou sous les intempéries, rien ne lui échappe, capturant des images inoubliables des compétitions enivrantes, des exploits des surfeurs et des événements marquants. Plongez au cœur de cette expérience unique, entre émotions fortes, beauté époustouflante et témoignages captivants, pour partager la magie du surf avec la passion inébranlable de Tim Pruvost pour ce spot légendaire.

Teahupo'o, la vague mythique

 CONTEXTE

Pendant nombre d’années, la Polynésie moderne a eu tendance à demeurer aux yeux du monde un paradis exotique lointain déployé aux confins des mers du Sud, évocateur de rêves mais difficilement localisable, patrie du paréo, refuge de Gauguin et de Brel, ou encore écrin de Bora Bora, la perle du Pacifique. C’est la vague magique de Teahūpo’o et sa renommée internationale qui allaient plus clairement permettre de la situer sur la carte à partir de la fin des années 1990.

Grâce à cette mâchoire devenue le Graal de la planète surf tout entière, les images enchanteresses de la destination allaient bénéficier d’une toute nouvelle visibilité, attirant dans leur sillage de nombreux visiteurs, épris de glisse et d’adrénaline, tout en faisant frissonner à l’international les adeptes du nouveau way of life porté par cette discipline désormais en vogue. Sans ce tube devenu aujourd’hui mythique, la face de la Polynésie contemporaine n’aurait sans doute pas été tout à fait la même…

C’est cette histoire incroyable, épopée chargée d’exploits, de bruits et de fureur, mais aussi émaillée de quelques drames et particulièrement riche d’émotions que « Teahūpo’o : la vague mythique » a à cœur de partager avec le grand public à l’occasion de l’organisation des prochains Jeux olympiques d’été de Paris 2024 ; des Jeux qui ont choisi la vague tahitienne en janvier 2020 pour servir de cadre aux épreuves de la discipline, comme un vibrant hommage aux origines polynésiennes du surf.

Teahupo'o, la vague mythique

PRÉSENTATION

Au fil des 260 épisodes de ce magazine, formaté en capsules explosives de 2 minutes chacune, ce sont littéralement tous les événements, sans exception, ayant contribué à forger la légende de cette vague à nulle autre pareille, qui vont se voir relatés au gré d’images bien souvent aussi émouvantes que chargées d’adrénaline.

Cette vague, dont l’une des grandes particularités consiste à casser sur le reef dans des conditions qui la rendent particulièrement dangereuse, est littéralement devenue légendaire en un peu plus de 25 ans de compétitions internationales, mais également de free sessions à l’origine d’images inoubliables. Devenue le défi ultime des riders internationaux comme locaux, subjugués par la potentialité d’une prouesse autant que par la beauté à couper le souffle du paysage qui lui sert de cadre, les meilleurs n’ont eu de cesse de s’y mesurer à partir du lancement de la première compétition internationale, la Black Pearl Horue, un WQS, en 1997. Depuis lors, l’enfer et le paradis ne semblent jamais avoir été aussi proches qu’au bout de la route de la Presqu’île de Tahiti. Et c’est bien ce que « Teahūpo’o : la vague mythique » a choisi de faire vivre et découvrir au grand public en retraçant toute l’histoire de cette vague, à travers ses nombreuses facettes, parmi lesquelles :

  • l’organisation des Trials et de toutes les compétitions internationales depuis les débuts ;
  • les vainqueurs qui ont façonné sa légende, y compris chez les dames autorisées à s’y affronter en compétition jusqu’en 2006 ;
  • les free sessions dantesques ;
  • les surfeurs les plus prestigieux qui soient parvenus à la dompter ;
  • les swells d’anthologie, à commencer par les fameux Codes Rouges ;
  • les prouesses, parmi lesquelles celles récompensées par des Awards ;
  • les accidents et les « méga bouffes » ;
  • la montée en puissance du spot ;
  • les water patrols qui y assurent la sécurité ;
  • les grands noms de l’image à qui l’on doit l’immense popularité de la vague et ses plus belles représentations, diffusées depuis 25 ans partout dans le monde et relayées de plus en plus souvent en live sur les réseaux sociaux ;
  • les bateaux qui desservent le site et leurs intrépides pilotes ;
  • les pilotes de jet-ski, qui assurent également le show lors des sessions en tow-in ;
  • les conditions météorologiques, qui donnent le ton des sessions ;
  • l’évolution du matériel ;
  • les boys de la génération montante, qui se poussent à l’exploit dans une émulation inédite et grandissante ;
  • les anecdotes devenues des souvenirs mémorables ;
  • les équipements aussi improbables que le scaffholding, considéré lui aussi comme mythique…

Plus loin que la mise en lumière de tous ces événements, qui ont littéralement fait vibrer la Polynésie tout entière à leur rythme, il s’agira de valoriser à la hauteur de leurs mérites tous les hommes et les femmes, tous les athlètes dont les exploits ont participé à faire naître la légende de Teahūpo’o et à la faire perdurer depuis 1997.

Teahupo'o, la vague mythique

Grâce à un fonds d’images d’archives sans équivalent, aucun des nombreux héros du spot ne sera oublié. De Manoa Drollet, à Vetea David, Raimana Van Bastolaer, Hira Teriinatoofa, Heiarii Williams, Michel Demont, Pascal Luciani, Matehau Tetopata, Malik Joyeux, mais aussi le GOAT Kelly Slater, onze fois champion du monde et qui considère la vague de la Presqu’île de Tahiti comme la plus belle du monde, Andy Irons, vainqueur de sa première compétition internationale, Laird Hamilton, l’artiste de la Millenium Wave, en passant par Matahi Drollet, Michel Bourez, Mihimana Braye, Tikanui Smith, Kauli et Aelan Vaast ou encore le caméraman Gilles Hucault, le photographe Tim McKenna, Christophe Holozet, le père de la compétition… tous, locaux, étrangers, vahine, anciens comme fers de lance de la nouvelle génération seront ici rassemblés dans l’incroyable panorama offert depuis 25 ans par la vague de Teahūpo’o ; un panorama exceptionnel dont cette émission se veut le précieux reliquaire.

Mais parce que cette vague est aussi devenue, bien au-delà de la seule pratique des sports de glisse extrêmes, l’emblème de toute une destination et de sa population, « Teahūpo’o : la vague mythique » vous entraînera également à la rencontre et à la découverte de ses habitants, des gardiens de la mémoire du lieu, de ses légendes et même de ses Dieux.

Teahupo'o, la vague mythique

CHOIX DU FORMAT

Ces capsules volontairement courtes pour davantage d’explosivité promettent un festival de belles images, de celles qui se gravent dans les rétines pour longtemps. Et si les émotions seront bel et bien au rendez-vous, les témoignages percutants et les vraies informations le seront aussi pour mieux donner la mesure de cette vague, cette gauche, qui est à la fois la plus belle et la plus dangereuse du monde. Une vague ultra-photogénique, qui hypnotise littéralement depuis 25 ans toutes les personnes l’ayant approchée de près ou de loin. Et qui peinent souvent à s’en éloigner désormais !

Teahupo'o, la vague mythique

L’ÉQUIPE

Présent sur place depuis plus de 23 ans, Tim Pruvost, réalisateur et producteur de « Teahūpo’o : la vague mythique » est un inconditionnel du spot où il a absolument tout vécu de ce qui y a fait date ces dernières années, à l’eau dès l’aurore, par tous les temps et toujours derrière un objectif.

De toutes les compétitions, toutes les joies, tous les événements, il est derrière un grand nombre des images de sports d’eau diffusées sur Polynésie La Première depuis 2009, mais se passionne plus largement pour tous les rendez-vous mêlant nature et disciplines extrêmes, comme lorsqu’il a a filmé le premier saut de base jump en Polynésie, à Maupiti. Il détient surtout le fonds d’images d’archives audiovisuelles mettant en scène Teahūpo’o à coup sûr le plus conséquent existant à ce jour.

La journaliste et auteure de l’émission, Virginie Gillet, a secondé Tim durant 6 saisons précédentes du magazine « Islander’s Tahiti », dédié aux sports de glisse et qui faisait déjà forcément la part belle au surf et à la mâchoire de Teahūpo’o. Journaliste en Polynésie depuis 1996, elle est particulièrement attachée à donner la parole à toutes les personnes qui vont cueillir leurs rêves et à valoriser les parcours inspirants.

Ramona Ah-Ling, la monteuse du programme, affiche également 25 ans de métier dans l’audiovisuel. Ultra-polyvalente, officiant allègrement du documentaire, aux actualités, en passant par le cinéma, la publicité, les clips ou les bandes-annonces, elle a également été en charge durant plusieurs années du montage des magazines « Islander’s Tahiti ».

La voix-off, enfin, est assurée par Kaipolani Amaru, hôtesse de l’air mais également artiste, chanteuse, bien connue en Polynésie, dont le joli timbre promet d’être une irrésistible invitation à la découverte de toutes les surprises promises par « Teahūpo’o : la vague mythique » dans l’attente de la tenue à Teahūpo’o des épreuves de surf, femmes et hommes, des Jeux olympiques d’été de Paris 2024.

Teahupo'o, la vague mythique

DIFFUSION

Dès juillet 2023 et jusqu’à juillet 2024 afin d’offrir une sorte de teaser ultra-intense aux épreuves de surf de ces Jeux olympiques.

Les 260 capsules du programme sont diffusées en télé prime time, du lundi au vendredi en télé et à retrouver en replay sur le site internet de Polynésie la 1ère.