Le groupe Kaitiaki Tagaloa a été choisi pour construire les quatre hôtels et deux condominiums du Village tahitien. Un accord a été signé ce vendredi 13 avril 2018, mais le marché ne sera signé qu’après les territoriales.
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Ils étaient deux candidats en lice pour les six premiers lots du Village tahitien, le projet qui remplace le Mahana Beach. C’est le groupe Kaitiaki Tagaloa qui a remporté l’appel d’offres. Il se compose de Kaitiaki property, Iwi international et du groupe Grey.
Kaitiaki Tagaloa va construire les quatre hôtels et deux condominiums du futur complexe, soit 1 200 clés. Le groupe va investir 700 millions de dollars américains, soit environ 70 milliards de Fcfp, d’après le vice-président, Teva Rohfritsch.
Un accord a été signé ce vendredi 13 avril 2018, mais c’est le prochain gouvernement qui signera le marché, après les élections territoriales.
L’appel à projets avait été publié par l’établissement public Tahiti Nui Aménagement de Développement (TNAD) le 24 novembre dernier. En tout, 70 dossiers avaient été retirés, mais seules quatre offres avaient été déposées. Après un premier examen, la commission technique avait retenu deux offres. Aucun investisseur local n’est arrivé à ce stade de la procédure.
Le gouvernement d’Édouard Fritch précise que le recours prioritaire à la main d’œuvre locale figurait dans le cahier des charges et devra donc être respecté.
Kaitiaki Tagaloa va construire les quatre hôtels et deux condominiums du futur complexe, soit 1 200 clés. Le groupe va investir 700 millions de dollars américains, soit environ 70 milliards de Fcfp, d’après le vice-président, Teva Rohfritsch.
Un accord a été signé ce vendredi 13 avril 2018, mais c’est le prochain gouvernement qui signera le marché, après les élections territoriales.
L’appel à projets avait été publié par l’établissement public Tahiti Nui Aménagement de Développement (TNAD) le 24 novembre dernier. En tout, 70 dossiers avaient été retirés, mais seules quatre offres avaient été déposées. Après un premier examen, la commission technique avait retenu deux offres. Aucun investisseur local n’est arrivé à ce stade de la procédure.
Le gouvernement d’Édouard Fritch précise que le recours prioritaire à la main d’œuvre locale figurait dans le cahier des charges et devra donc être respecté.