Dans le quotidien des non voyants polynésiens

Dimanche 12 juin, l’association Mata Hotu (anciennement 6e sens) organise une manifestation pour sensibiliser ceux qui ont la chance d’ouvrir les yeux sur le monde.
Rainui, 25 ans, est non voyante de naissance. Elle a toujours dû s’adapter dans ses tâches quotidiennes et a appris à développer ses autres sens. Aujourd’hui, elle pense que le quotidien des non-voyants en Polynésie française peut largement être amélioré.
©Polynésie 1ère
Difficile d’appréhender l’univers des non voyants… Un monde souvent imaginaire, où les quatre autres sens sont surdéveloppés, l'ouïe plus particulièrement.
Il reste encore beaucoup à faire pour que ces personnes puissent acquérir une véritable autonomie. Depuis la fermeture du CEDOP, structure spécialisée, elles ne peuvent compter que sur leur famille. L’autonomie est donc très difficile à acquérir comme nous le confie Maeva :
©Polynésie 1ère