Après plus de quinze jours de grève, un accord a finalement été trouvé entre la direction générale, le président du conseil d'administration et l'intersyndicale de la CPS. Le travail devrait reprendre son cours normal ce jeudi 9 avril.
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Régis Chang reste directeur général de la CPS. Un accord sur la réorganisation de la direction générale a finalement été trouvé mercredi 8 avril. Après 16 jours de grève, un protocole a été signé à la Caisse de Prévoyance Sociale, hier après-midi. Le travail devrait donc reprendre son cours normal, ce jeudi 9 avril, à la CPS.
Régis Chang est maintenu à son poste mais il n’aura plus la gestion du personnel. Il s’occupera de la Protection Sociale Généralisée et sera secondé par un adjoint. Quant à la révision de la convention d’entreprise de la CPS, elle n’est plus d’actualité.
Écoutez Patrick Galenon, le secrétaire général de la CSTP / FO, interrogé par Gilles Tautu
Écoutez Yves Laugrost, président du conseil d’administration de la CPS, interrogé par Gilles Tautu
Par contre, la grève se poursuit à l’hôpital de Taravao. Les médecins urgentistes réclament notamment le paiement de leurs heures supplémentaires. Du côté de l'Huilerie de Tahiti, les grévistes attendent le retour de leur directeur pour évoquer les augmentations salariales. Et le coprah n’est toujours pas ramassé dans les îles.
Régis Chang est maintenu à son poste mais il n’aura plus la gestion du personnel. Il s’occupera de la Protection Sociale Généralisée et sera secondé par un adjoint. Quant à la révision de la convention d’entreprise de la CPS, elle n’est plus d’actualité.
Écoutez Patrick Galenon, le secrétaire général de la CSTP / FO, interrogé par Gilles Tautu
(F) 6H PATRICK GALENON - FIN GREVE CPS.mp3
Écoutez Yves Laugrost, président du conseil d’administration de la CPS, interrogé par Gilles Tautu
CPS Yves Laugrost
La grève se poursuit à Taravao et à l'Huilerie de Tahiti
Par contre, la grève se poursuit à l’hôpital de Taravao. Les médecins urgentistes réclament notamment le paiement de leurs heures supplémentaires. Du côté de l'Huilerie de Tahiti, les grévistes attendent le retour de leur directeur pour évoquer les augmentations salariales. Et le coprah n’est toujours pas ramassé dans les îles.