F.Riveta et R.Temeharo devraient quitter le gouvernement. Leur démission pourrait être acceptée mercredi par E. Fritch. Le ministre de l'agriculture, de l'artisanat et du développement des archipels et celui de la jeunesse et des sports retrouveraient alors dans un mois les rangs de l'Assemblée.
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Le remaniement ministériel attendu ces derniers jours pour permettre à Edouard Fritch de renforcer sa position à l'Assemblée de Polynésie pourrait intervenir dès mercredi. Les ministres Frédéric Riveta et René Temeharo s' apprêtent à quitter le gouvernement pour rejoindre l'hémicycle et gonfler ainsi les rangs du Tapura Huiraatira.
Les deux représentants Tahoeraa Huiraatira Fernand Tahiata, maire de Tubuai et Evans Ha'umani, maire de Moorea seraient alors contraints de céder leurs sièges. Ce jeu de chaises musicales réduirait alors le groupe orange à vingt élus et porterait la coalition Tapura / A Tia Porinetia à vingt six; soit trois voix de moins que la majorité absolue. L'UPLD continuerait donc à jouer les arbitres.
En pleine session budgétaire, l'absence de majorité d'Edouard Fritch à l'Assemblée et les alliances de circonstances entre Tahoeraa et UPLD l'ont vu essuyer plusieurs revers, à commencer voila quelques jours par la création d'une commission chargée d enquêter sur les réformes fiscales.
Deux autres projets de loi de pays dont l'un portant sur certaines exonérations de cotisations sociales pour le patronat ont également été retoqués.
Si l'examen du budget s'annonce donc plus que délicat, " 26 conseillers c'est toujours mieux que 24... et plus près de 29" confie t'on dans l'entourage du président.
Les deux représentants Tahoeraa Huiraatira Fernand Tahiata, maire de Tubuai et Evans Ha'umani, maire de Moorea seraient alors contraints de céder leurs sièges. Ce jeu de chaises musicales réduirait alors le groupe orange à vingt élus et porterait la coalition Tapura / A Tia Porinetia à vingt six; soit trois voix de moins que la majorité absolue. L'UPLD continuerait donc à jouer les arbitres.
En pleine session budgétaire, l'absence de majorité d'Edouard Fritch à l'Assemblée et les alliances de circonstances entre Tahoeraa et UPLD l'ont vu essuyer plusieurs revers, à commencer voila quelques jours par la création d'une commission chargée d enquêter sur les réformes fiscales.
Deux autres projets de loi de pays dont l'un portant sur certaines exonérations de cotisations sociales pour le patronat ont également été retoqués.
Si l'examen du budget s'annonce donc plus que délicat, " 26 conseillers c'est toujours mieux que 24... et plus près de 29" confie t'on dans l'entourage du président.