Sur le plan sanitaire, la rentrée sera forcément particulière mais jusqu'à présent la distribution des fournitures dans les cours d'écoles ou les courses dans les papeteries se déroulent comme à l'accoutumée. Reportage
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A quelques jours de la rentrée, la chasse aux fournitures scolaires est ouverte. "Courant janvier-février, je suis allé à la rencontre de tous les enseignants et je leur demande les besoins en fournitures scolaires. Et, j'essaye de faire la liste pour chaque classe", explique Steve Young Pine, enseignant au collège Pomare IV qui distribue pour 5000 Fcfp un sac complet de fournitures. "Ce sont essentiellement des cahiers, petits ou grands formats, cela dépend des matières", précise Teremoana, préparateur des fournitures.
Si certains viennent dans les établissements scolaires se fournir, d'autres vont en papeteries. Ici, la liste est de mise mais le choix est possible. Les parents tentent de faire plaisir aux enfants tout en canalisant les demandes et ainsi respecter le budget prévu. "Il faut que ça éblouisse, ce sont ses seules exigences (...) Mais on va essayer de contenir ses ardeurs", confie, sourire en coin, Stanley, père de deux enfants scolarisés.
Si la crise économique post-covid est bien réelle, les chiffres sont à la hausse par rapport à l'année dernière. "Les Polynésiens, malgré cette crise, aiment bien acheter de belles et nouvelles choses pour leurs enfants (...) On aime bien faire plaisir à ses enfants", epxlique Antoine Colombani, responsable de magasin.
Si certains viennent dans les établissements scolaires se fournir, d'autres vont en papeteries. Ici, la liste est de mise mais le choix est possible. Les parents tentent de faire plaisir aux enfants tout en canalisant les demandes et ainsi respecter le budget prévu. "Il faut que ça éblouisse, ce sont ses seules exigences (...) Mais on va essayer de contenir ses ardeurs", confie, sourire en coin, Stanley, père de deux enfants scolarisés.
Si la crise économique post-covid est bien réelle, les chiffres sont à la hausse par rapport à l'année dernière. "Les Polynésiens, malgré cette crise, aiment bien acheter de belles et nouvelles choses pour leurs enfants (...) On aime bien faire plaisir à ses enfants", epxlique Antoine Colombani, responsable de magasin.