La commission de validation des résultats des élections du personnel a établi les résultats des syndicats en 2017 et 2018. La CSTP/FO reste le syndicat majoritaire en Polynésie, mais il perd des voix, comme tous les autres syndicats. A l'exception de la CSIP, la seule à progresser.
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Sur la plus haute marche du podium, en terme de représentativité, la CSTP/FO (Confédération des syndicats des travailleurs de Polynésie/Force ouvrière) avec 10 476 voix, soit 29,56 % des suffrages 2017 et 2018. Précédemment 10 910 voix, soit 30,81 % des suffrages en 2016-2017.
Arrive ensuite la CSIP (Confédération des syndicats indépendants de Polynésie) avec 6 577 voix, soit 18,56 % des suffrages en 2017 et 2018 (précédemment 6 235 voix et 17,61 % des suffrages en 2016-2017). C'est le seul syndicat en nette progression en nombre de voix.
Troisième en terme de représentativié : la Confédération A Ti’a I Mua, avec 6 362 voix, soit 17,96 % des suffrages 2017 et 2018 (précédemment 6 482 voix et 18,31 % des suffrages en 2016-2017).
Puis viennent la Confédération Otahi (11,89 % des suffrages 2017 et 2018, contre 12,17 % en 2016-2017) et O Oe To Oe Rima qui progresse très légèrement (11,79 % des suffrages 2017 et 2018, contre 11,21 en 2016-2017).
Afin de pouvoir bénéficier de la représentativité au niveau de la Polynésie française, toute organisation syndicale de salariés ou toute union syndicale de salariés doit avoir obtenu, au cours des deux dernières années, une moyenne de voix aux élections des délégués du personnel, titulaires et suppléants, supérieure à 5 % du nombre de voix exprimées.
Arrive ensuite la CSIP (Confédération des syndicats indépendants de Polynésie) avec 6 577 voix, soit 18,56 % des suffrages en 2017 et 2018 (précédemment 6 235 voix et 17,61 % des suffrages en 2016-2017). C'est le seul syndicat en nette progression en nombre de voix.
Troisième en terme de représentativié : la Confédération A Ti’a I Mua, avec 6 362 voix, soit 17,96 % des suffrages 2017 et 2018 (précédemment 6 482 voix et 18,31 % des suffrages en 2016-2017).
Puis viennent la Confédération Otahi (11,89 % des suffrages 2017 et 2018, contre 12,17 % en 2016-2017) et O Oe To Oe Rima qui progresse très légèrement (11,79 % des suffrages 2017 et 2018, contre 11,21 en 2016-2017).
Afin de pouvoir bénéficier de la représentativité au niveau de la Polynésie française, toute organisation syndicale de salariés ou toute union syndicale de salariés doit avoir obtenu, au cours des deux dernières années, une moyenne de voix aux élections des délégués du personnel, titulaires et suppléants, supérieure à 5 % du nombre de voix exprimées.