Il n’y a plus d’unanimité aux Australes pour la mise en place d’aire marine protégée. Le maire de Rurutu préfère une aire marine gérée, moins contraignante et sous compétence du Pays. Une rencontre est prévue mardi avec le président Fritch et les maires des Australes.
•
Le projet porte sur un million de km2 de réserve autour des îles Australes, mais la plus grande aire marine protégée du monde pourrait bien ne plus être mise en place. Il y a une semaine, le conseil municipal de Rurutu modifie sa délibération pour une aire marine gérée ce qui change tout. L’unité n’y est plus, mais pour les autres maires le seul projet qui a fait débat et a l’aval de la population c’est celui d'une véritable aire marine protyégée.
Les explications de Fernand Tahiata, maire de Tubuai :
Surprise également pour Jérôme Petit, le représentant de l'ONG Pew en Polynésie, favorable au projet d'AMP :
Pour le maire de Rurutu ex-membre du gouvernement, il n’est pas trop tard pour reconnaitre ses erreurs et réorienter le projet. Il craint la sanctuarisation de la zone et surtout la perte pour la Polynésie de toute possibilité future d’exploitation de l’espace. La pêche mais surtout l’exploitation des fonds marins. L’aire marine gérée est pour Frédéric Riveta la bonne solution :
La délégation des Australes a créé son association Rahui Nui no tuhaa pae pour continuer à défendre le projet. Une entrevue est prévue la semaine prochaine avec le président Fritch, mais malheureusement plusieurs membres sont retournés dans l’archipel.
Les explications de Fernand Tahiata, maire de Tubuai :
Surprise également pour Jérôme Petit, le représentant de l'ONG Pew en Polynésie, favorable au projet d'AMP :
projet aire marine protégée
Pour le maire de Rurutu ex-membre du gouvernement, il n’est pas trop tard pour reconnaitre ses erreurs et réorienter le projet. Il craint la sanctuarisation de la zone et surtout la perte pour la Polynésie de toute possibilité future d’exploitation de l’espace. La pêche mais surtout l’exploitation des fonds marins. L’aire marine gérée est pour Frédéric Riveta la bonne solution :
La délégation des Australes a créé son association Rahui Nui no tuhaa pae pour continuer à défendre le projet. Une entrevue est prévue la semaine prochaine avec le président Fritch, mais malheureusement plusieurs membres sont retournés dans l’archipel.