Cette année encore, plus de 700 enfants sélectionnés pour la plupart par les services sociaux, participent à la Saga, qui fête sa 25e édition à Papeari. Chaque semaine, ils s’initient à la voile et à l’école de la vie.
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A la Saga, on rit beaucoup et on pleure aussi, surtout lorsque l’heure des aurevoirs est arrivée. C’est déjà le dernier jour pour les 148 enfants venus de Tahiti, Rikitea et Rimatara, cette semaine. Ils mettent à profit ce qu’ils ont appris pour une régate, ce samedi, sur le plan d’eau de Papeari.
De 7 à 17 ans, ils manoeuvrent l’Optimist, le Teddy ou encore le Hobie cat, à raison de 6h chaque jour sur l’eau. Lorsque le vent n’est pas au rendez-vous, les enfants s'amusent en kayak ou paddle. Des activités qui leur permettent de créer des liens. "On a fait des batailles d’algues et c’est comme ça qu’on est devenues copines. On espère qu’on continuera de se voir après la Saga. Tout est bien ici : l’ambiance, les moniteurs, les copines, les familles d’accueil.", confient quatre jeunes filles d’Arue et de Faa’a, ravies de s'être rencontrées lors de cette Saga. Elles ne sont pas pressées de retrouver leur maison et leurs parents !
Pour la majorité d’entre eux, les enfants sont sélectionnés par les services sociaux. En situation de décrochage scolaire, issus de milieu défavorisé ou encore placé sous assistance éducative…Pendant une semaine, ils deviennent tous des petits mousses. Cette parenthèse est possible grâce à la persévérance de Doudou et aux subventions et parrainages. La Saga a coûté environ 35 millions de Fcfp cette année pour accueillir plus de 700 enfants tout au long des grandes vacances. Dès que la rentrée scolaire sera là, les équipes commenceront déjà à organiser la Saga 2018, souhaitée à Bora-Bora…
Reportage
De 7 à 17 ans, ils manoeuvrent l’Optimist, le Teddy ou encore le Hobie cat, à raison de 6h chaque jour sur l’eau. Lorsque le vent n’est pas au rendez-vous, les enfants s'amusent en kayak ou paddle. Des activités qui leur permettent de créer des liens. "On a fait des batailles d’algues et c’est comme ça qu’on est devenues copines. On espère qu’on continuera de se voir après la Saga. Tout est bien ici : l’ambiance, les moniteurs, les copines, les familles d’accueil.", confient quatre jeunes filles d’Arue et de Faa’a, ravies de s'être rencontrées lors de cette Saga. Elles ne sont pas pressées de retrouver leur maison et leurs parents !
Pour la majorité d’entre eux, les enfants sont sélectionnés par les services sociaux. En situation de décrochage scolaire, issus de milieu défavorisé ou encore placé sous assistance éducative…Pendant une semaine, ils deviennent tous des petits mousses. Cette parenthèse est possible grâce à la persévérance de Doudou et aux subventions et parrainages. La Saga a coûté environ 35 millions de Fcfp cette année pour accueillir plus de 700 enfants tout au long des grandes vacances. Dès que la rentrée scolaire sera là, les équipes commenceront déjà à organiser la Saga 2018, souhaitée à Bora-Bora…
Reportage