La houle a baissé pour cette ultime journée de compétition, à Papenoo où se tenait une étape du championnat de Polynésie. Mais qu'importe, pour ce premier rendez-vous surf de la saison, quelques revenants de la discipline étaient présents...
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C'est à l'embouchure de Papenoo que les licenciés de la fédération de surf de Polynésie avaient rendez-vous, ce week-end. Une reprise du championnat Open tout en douceur... "On a une bonne participation des surfeurs (...) La majorité sont présents", explique Philippe Klima, de la fédération tahitienne de surf.
De grosses pointures ont fait leur come-back à l'occasion de cette compétition. Parmi eux, Steven Pierson, Mihimana Braye ou encore Heiarii Williams. "On s'amuse, c'est cool (...) Bien content d'arriver en demi-finale après deux ans d'absence", confie Heiarii Williams qui a subi deux ans de sanction et a été privé de compétition.
Steven Pierson, qui enseigne le surf aux plus jeunes, a lui souhaité y participer "pour leur montrer que le coach est toujours là à surfer, mettre en pratique ce qu'il essaye de travailler avec eux".
Mihimana Braye, qui évolue dans le QS pour se mesurer aux surfeurs internationaux, était aussi de la partie. "Ca fait toujours du bien de revenir ici entre des compétitions (...) pour garder le rythme. Et puis c'est un plaisir de surfer avec les locaux, c'est cool".
De grosses pointures ont fait leur come-back à l'occasion de cette compétition. Parmi eux, Steven Pierson, Mihimana Braye ou encore Heiarii Williams. "On s'amuse, c'est cool (...) Bien content d'arriver en demi-finale après deux ans d'absence", confie Heiarii Williams qui a subi deux ans de sanction et a été privé de compétition.
Steven Pierson, qui enseigne le surf aux plus jeunes, a lui souhaité y participer "pour leur montrer que le coach est toujours là à surfer, mettre en pratique ce qu'il essaye de travailler avec eux".
Mihimana Braye, qui évolue dans le QS pour se mesurer aux surfeurs internationaux, était aussi de la partie. "Ca fait toujours du bien de revenir ici entre des compétitions (...) pour garder le rythme. Et puis c'est un plaisir de surfer avec les locaux, c'est cool".
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