Ce samedi 23 novembre, une marche blanche a été organisée contre la violence faite aux femmes à la presqu'île. L'occasion une nouvelle fois pour l'association Vahine Orama Tahiti iti de déplorer le manque de structures et d’accompagnement.
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En France, chaque année, environ 220.000 femmes adultes sont victimes de violences physiques et/ou sexuelles de la part de leur conjoint ou ex-conjoint. Chaque jour au fenua, plus de trois femmes sont victimes d'un acte violent. Plus de 1 200 faits de violences subis par les femmes sont enregistrés chaque année. A l'occasion de cette marche blanche, qui intervient deux jours avant la journée internationale de lutte conte les violences faites aux femmes, l'association Vahine Orama Tahiti iti déplore, et ce n’est pas la première fois, le manque de structures et d’accompagnement.
A la presqu'île, pour l'heure, c’est la présidente de l'association, Marie-Noëlle, qui s’en charge sur ses propres moyens. Ce que condamne aussi Sandra Lévy Agamy, qui aimerait que le gouvernement puisse prendre en charge les nuités de pension de famille pour les mamans ou les enfants qui se retrouvent à la rue. "Si au départ, on peut avoir la prise en charge des nuités dans une pension, ça aiderait vraiment beaucoup les femmes que ce soit à Tahiti ou dans les îles".
A la presqu'île, pour l'heure, c’est la présidente de l'association, Marie-Noëlle, qui s’en charge sur ses propres moyens. Ce que condamne aussi Sandra Lévy Agamy, qui aimerait que le gouvernement puisse prendre en charge les nuités de pension de famille pour les mamans ou les enfants qui se retrouvent à la rue. "Si au départ, on peut avoir la prise en charge des nuités dans une pension, ça aiderait vraiment beaucoup les femmes que ce soit à Tahiti ou dans les îles".
Taravao marche contre les violences faites aux femmes