Depuis le 15 juillet, les touristes sont de nouveau sur le territoire mais la reprise met du temps à se mettre en route. "Cette progression, cette courbe de croissance va s'étaler sur quelques mois", souligne Guillaume Epinette, directeur du groupe Beachcomber, l'un des plus gros employeurs du pays.
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Le secteur touristique tourne au ralenti. Le ciel polynésien s'est ouvert à l'international le 15 juillet dernier. Une bonne nouvelle pour les professionnels du tourisme mais depuis cette date, ce n'est pas non plus la folie.
A l'hôtel Intercontinental de Tahiti par exemple, le taux de remplissage est de 20% depuis la reprise. Une situation à laquelle le directeur régional du groupe Beachcomber s'attendait. "La reprise est lente, on sait que ça va prendre du temps, mais c'est normal. Cette progression, cette courbe de croissance va s'étaler sur quelques mois", souligne Guillaume Epinette. Le groupe intercontinental, qui compte 900 employés, a déjà perdu depuis le début de la crise 65% de son chiffre d'affaires.
La direction de Tahiti tourisme a rencontré les professionnels du tourisme cette semaine pour faire le point avec eux les mesures à mettre en place et sur les difficultés qu'ils rencontrent.
A l'hôtel Intercontinental de Tahiti par exemple, le taux de remplissage est de 20% depuis la reprise. Une situation à laquelle le directeur régional du groupe Beachcomber s'attendait. "La reprise est lente, on sait que ça va prendre du temps, mais c'est normal. Cette progression, cette courbe de croissance va s'étaler sur quelques mois", souligne Guillaume Epinette. Le groupe intercontinental, qui compte 900 employés, a déjà perdu depuis le début de la crise 65% de son chiffre d'affaires.
La direction de Tahiti tourisme a rencontré les professionnels du tourisme cette semaine pour faire le point avec eux les mesures à mettre en place et sur les difficultés qu'ils rencontrent.