Tahiti Tourisme lance une nouvelle campagne de communication internationale "Renouez avec l'essentiel à Tahiti Et Ses Îles". Le but : séduire les visiteurs grâce à notre destination exempt de COVID-19. Un défi pour l'organisme mais aussi pour certains prestataires touchés par la crise.
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Tahiti mise sur le tourisme culturel pour faire venir les touristes internationaux. La réouverture de la destination au tourisme international se fera à partir du 15 juillet prochain. Tahiti Tourisme a lancé une campagne "Renouez avec l’essentiel à Tahiti Et Ses Îles". Traduite en neuf langues, elle invite les voyageurs à un retour aux valeurs essentielles, à ses relations avec la nature, à d’autres cultures et ses proches, au cœur d’une destination unique.
Cette campagne a déjà démarré depuis le 12 juin dernier et toutes les forces vives du secteur du tourisme sont mobilisées et se préparent. Selon Vaihere Lissant, directrice marketing à Tahiti Tourisme, il faut redonner envie aux touristes de revenir dans nos îles.
Du côté des prestataires, l'ouverture à l'international est une bonne nouvelle. Même si l'espoir de terminer l'année avec des touristes internationaux est mince. Patrice Bordes est propriétaire d'une société de safari, ouverte en 1990. Comme beaucoup, la crise sanitaire et le confinement ont été une véritable catastrophe pour ce prestataire de tourisme. De 600 clients il est passé à 0 pour les mois d'avril et mai. En juin, il a enregistré une vingtaine de réservations grâce à des touristes locaux. Même si en juillet, les vols à l'international réouvrent, Patrice Bordes estime qu'il ne pourra pas avoir d'internationaux avant au moins octobre.
Cette campagne a déjà démarré depuis le 12 juin dernier et toutes les forces vives du secteur du tourisme sont mobilisées et se préparent. Selon Vaihere Lissant, directrice marketing à Tahiti Tourisme, il faut redonner envie aux touristes de revenir dans nos îles.
Tourisme : séduire les visiteurs à notre destination exempte de COVID-19
Du côté des prestataires, l'ouverture à l'international est une bonne nouvelle. Même si l'espoir de terminer l'année avec des touristes internationaux est mince. Patrice Bordes est propriétaire d'une société de safari, ouverte en 1990. Comme beaucoup, la crise sanitaire et le confinement ont été une véritable catastrophe pour ce prestataire de tourisme. De 600 clients il est passé à 0 pour les mois d'avril et mai. En juin, il a enregistré une vingtaine de réservations grâce à des touristes locaux. Même si en juillet, les vols à l'international réouvrent, Patrice Bordes estime qu'il ne pourra pas avoir d'internationaux avant au moins octobre.