Un Polynésien poignardé à mort dans la ville du Mans

Mardi 29 décembre 2015, au Mans, un homme, d'origine polynésienne, âgé de 34 ans, a reçu un coup de couteau mortel dans le dos. L'enquête n'a toujours pas permis d'identifier le ou les agresseurs.
Mardi 29 décembre 2015, dans la ville de Mans en France, un homme d'origine polynésienne a été poignardé en pleine rue. Les faits se sont déroulés un peu avant minuit. La victime s'est écroulée après avoir reçu un coup de couteau dans le dos et n'a pu être ranimée par le SAMU.

Que s'est-il passé en plein centre-ville du Mans dans la nuit de mardi à mercredi ? Ce soir là, un Polynésien, Angelo Opuu, a été agressé à l'arme blanche. Il n'a pas survécu. Originaire de Mataiea, sa famille est aujourd'hui, sous le choc. Vaihere Tauotaha et Gilles Hucault les ont rencontré.
Que s'est-il passé en plein centre-ville du Mans dans la nuit de mardi à mercredi ? Ce soir là, un Polynésien, Angelo Opuu, a été agressé à l'arme blanche. Il n'a pas survécu. Originaire de Mataiea, sa famille est aujourd'hui, sous le choc. Vaihere Tauotaha et Gilles Hucault les ont rencontré. ©Polynesie1ere
Angelo Opuu, ancien militaire, était âgé de 34 ans. Ce père de famille est décédé dans des circonstances qui restent floues. L'un des témoins s'est confié auprès de nos confrères du Maine-Libre :

« On a vu des gars jeter une bouteille en verre au niveau de la tête d'un autre, qui s'est baissé pour l'éviter. Elle a explosé par terre. Il y avait eu des insultes juste avant. »

« On a croisé les agresseurs qui sont partis en direction de la gare [...] En avançant dans la rue, on a vu un homme adossé à un mur. Il n'avait pas l'air bien ». A ce moment, le groupe d'amis était loin d'imaginer que cet homme venait d'être poignardé.

« Il s'est accroupi comme s'il voulait prendre quelque chose par terre puis s'est relevé et est allé au milieu de la rue. C'est là qu'il est tombé sur le dos [...] Quelqu'un est allé dans un bar pour alerter les gens. »















 









Selon France3 Maine, l'enquête a été confiée à la section de recherche de police judiciaire (SRPJ) d'Angers. Pour l'heure, le ou les auteurs de l'agression n'ont toujours pas été interpellés.