C’est pour le moins insolite mais ingénieux puisqu’un groupe d’étudiants français s’est livré à une expérience plutôt originale: celle d’utiliser une imprimante 3D pour vous faire tatouer. Elle est baptisée la "3D Printer X Tatoo Machine"
Cette imprimante plus proche d’un prototype que d'une version finie a le mérite d’étonner et de faire parler.
Insolite de croire qu’il s’agit bien d’étudiants de l’Ecole Nationale Supérieur de Création Industrielle et non de tatoueurs réputés et renommés dans le domaine à la tête de ce projet. Une initiative née lors du salon du Workshop à Paris où des étudiants avaient 8 heures pour innover et développer…
Résultat, un prototype de machine à tatouer (avec un feutre) et le plaisir de tatouer la ministre de la Culture du moment Aurélie Filippetti.
Souhaitant perfectionner leur machine, ces étudiants se sont bien renforcés dans l’optique de maîtriser l’impact entre l’aiguille et la peau. Après de nombreuses recherches la 3D Printer X Tatoo Machine donnera lieu à un premier tatouage d’Antoine Goupille devenant ainsi le premier volontaire à s’être fait tatoué par une imprimante 3D. Comme représentation un rond, révélateur d’une forme difficile à « mécaniser/reproduire » et donnant la perspective de réaliser d’autres tatouages plus complexes.
Insolite de croire qu’il s’agit bien d’étudiants de l’Ecole Nationale Supérieur de Création Industrielle et non de tatoueurs réputés et renommés dans le domaine à la tête de ce projet. Une initiative née lors du salon du Workshop à Paris où des étudiants avaient 8 heures pour innover et développer…
Résultat, un prototype de machine à tatouer (avec un feutre) et le plaisir de tatouer la ministre de la Culture du moment Aurélie Filippetti.
Souhaitant perfectionner leur machine, ces étudiants se sont bien renforcés dans l’optique de maîtriser l’impact entre l’aiguille et la peau. Après de nombreuses recherches la 3D Printer X Tatoo Machine donnera lieu à un premier tatouage d’Antoine Goupille devenant ainsi le premier volontaire à s’être fait tatoué par une imprimante 3D. Comme représentation un rond, révélateur d’une forme difficile à « mécaniser/reproduire » et donnant la perspective de réaliser d’autres tatouages plus complexes.