Edouard Fritch a reçu ce mercredi 19 juin, à Paris, le président du groupe Daudruy Van Cauwenberghe et fils, acheteur unique de la production d’huile brute de coco de l’huilerie de Tahiti. Ils ont évoqué les moyens de valoriser l’ensemble des produits du cocotier.
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Le Président de la Polynésie française, Edouard Fritch, a reçu ce mercredi 19 juin à Paris le président du groupe Daudruy Van Cauwenberghe et fils, unique importateur de la production d’huile brute de coco de l’huilerie de Tahiti. Ils ont évoqué les moyens de valoriser l’ensemble des produits du cocotier, de transformer la filière coprah en filière du cocotier.
Le ministre de l’Economie verte, Tearii Alpha, a en effet souligné qu’il était essentiel de chercher à "valoriser autrement les produits du cocotier. Le cocotier ce n’est pas que la noix de coco, c’est aussi le tronc de cocotier, l’eau de coco aux vertus et goûts extraordinaires, le lait de coco, l’huile de coco vierge, la bourre de coco et sa fibre, la coquille, la noix de coco. Nous cherchons donc avec Monsieur Daudruy, industriel reconnu dans ce secteur en France et en Europe, à trouver des solutions de valorisation du cocotier. Aujourd’hui nous avons parlé de coprah, nous espérons que dans quelques années nous aurons réussi la transformation de cette filière coprah en filière du cocotier en Polynésie française".
Il a par ailleurs été convenu de valoriser l’huile polynésienne au travers "d’un label Polynésie française". Les dirigeants du groupe Daudruy reconnu en France et dans toute l’Europe se rendront au fenua d’ici la fin de l’année pour rencontrer directement les coprahculteurs. En Polynésie, depuis vingt ans, la production s’établit en moyenne à 12 000 tonnes de coprah annuellement.
Le ministre de l’Economie verte, Tearii Alpha, a en effet souligné qu’il était essentiel de chercher à "valoriser autrement les produits du cocotier. Le cocotier ce n’est pas que la noix de coco, c’est aussi le tronc de cocotier, l’eau de coco aux vertus et goûts extraordinaires, le lait de coco, l’huile de coco vierge, la bourre de coco et sa fibre, la coquille, la noix de coco. Nous cherchons donc avec Monsieur Daudruy, industriel reconnu dans ce secteur en France et en Europe, à trouver des solutions de valorisation du cocotier. Aujourd’hui nous avons parlé de coprah, nous espérons que dans quelques années nous aurons réussi la transformation de cette filière coprah en filière du cocotier en Polynésie française".
Il a par ailleurs été convenu de valoriser l’huile polynésienne au travers "d’un label Polynésie française". Les dirigeants du groupe Daudruy reconnu en France et dans toute l’Europe se rendront au fenua d’ici la fin de l’année pour rencontrer directement les coprahculteurs. En Polynésie, depuis vingt ans, la production s’établit en moyenne à 12 000 tonnes de coprah annuellement.