Le milliardaire ferait pousser du cannabis sur son atoll de Nukutepipi.
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Le milliardaire Guy Laliberté est en garde à vue à Papeete. Une information judiciaire a été ouverte pour trafic de stupéfiants.
Il est entendu par rapport au cannabis qu’il ferait pousser sous serre sur son atoll de Nukutepipi. L’ex patron du Cirque du soleil est interrogé sur des ventes de pakalolo qui auraient eu lieu à Tahiti via l’un de ses employés. Il pourrait être présenté devant un juge d’instruction demain matin.
La fortune de Guy La liberté est estimée à 1,37 milliards de dollars.
Dans un communiqué rendu public mardi 12 novembre dans la soirée, Me Piriou, avocat de Guy Laliberté indique :
"Nous confirmons que Guy Laliberté est actuellement en garde à vue à la gendarmerie.
Consommateur de cannabis médical, il est entendu en lien avec la culture de cannabis à des fins strictement personnelles à la résidence sur l’île de Nukutepipi, située en Polynésie Française.
Guy Laliberté se dissocie complètement de toute rumeur l'impliquant de près ou de loin dans la vente ou le trafic de stupéfiants.
Nous collaborons à l’enquête avec les autorités locales. Aucun commentaire ne sera émis".
Il est entendu par rapport au cannabis qu’il ferait pousser sous serre sur son atoll de Nukutepipi. L’ex patron du Cirque du soleil est interrogé sur des ventes de pakalolo qui auraient eu lieu à Tahiti via l’un de ses employés. Il pourrait être présenté devant un juge d’instruction demain matin.
La fortune de Guy La liberté est estimée à 1,37 milliards de dollars.
Dans un communiqué rendu public mardi 12 novembre dans la soirée, Me Piriou, avocat de Guy Laliberté indique :
"Nous confirmons que Guy Laliberté est actuellement en garde à vue à la gendarmerie.
Consommateur de cannabis médical, il est entendu en lien avec la culture de cannabis à des fins strictement personnelles à la résidence sur l’île de Nukutepipi, située en Polynésie Française.
Guy Laliberté se dissocie complètement de toute rumeur l'impliquant de près ou de loin dans la vente ou le trafic de stupéfiants.
Nous collaborons à l’enquête avec les autorités locales. Aucun commentaire ne sera émis".