Après son séjour à Hao, Wang Cheng présentait, ce vendredi 20 décembre, son projet de ferme aquacole devant le CESEC. Le moment était attendu car c'est dans le cadre des travaux du comité qu'un avis très critique d'un spécialiste de l'IRD à l'encontre du projet avait fuité dans la presse.
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Le suites des tribulations d'un patron chinois en Polynésie française... Après son séjour à Hao, Wang Cheng présentait, ce vendredi 20 décembre, son projet de ferme aquacole devant le CESEC. Pour rappel, au début du mois de décembre, un rapport de l'IRD avait fuité dans la presse. Dans ce rapport, il est donné un avis très réservé : on parle d'impact environnemental considérable de pollution importante et d’absence de garantie de rentabilité.
"Dans la globalité, il a apporté les réponses qui inquiètent un petit peu les représentants", explique Mara Aitamai, consultant à la maîtrise d'ouvrage. Ce vendredi matin, plusieurs intervenants du CESEC n'ont pas caché leurs préoccupations. Il y a pourtant des approches très différentes dans les rangs du conseil. Certains y voient peut-être une opportunité économique pour peu que les points opaques soient éclaircis. "A priori, il va y avoir des études d'impact qui vont être faites. Donc on va attendre ces études", précise Jeff Benhamza, membre du CESEC.
Mais la majorité de ceux qui se sont exprimés, se montrent très réticents. Personne ne nie la position éminente de l'aquaculture chinoise mais de là à leur céder l'accès à nos lagons, il y a un pas qu'ils se refusent à franchir. "Ce qui nous inquiète surtout c'est quand nous allons passer à la dernière phase, qui va être celle d'occuper les lagons", confie Winiki Sage, président de la fédération des associations d'environnement.
"Dans la globalité, il a apporté les réponses qui inquiètent un petit peu les représentants", explique Mara Aitamai, consultant à la maîtrise d'ouvrage. Ce vendredi matin, plusieurs intervenants du CESEC n'ont pas caché leurs préoccupations. Il y a pourtant des approches très différentes dans les rangs du conseil. Certains y voient peut-être une opportunité économique pour peu que les points opaques soient éclaircis. "A priori, il va y avoir des études d'impact qui vont être faites. Donc on va attendre ces études", précise Jeff Benhamza, membre du CESEC.
Mais la majorité de ceux qui se sont exprimés, se montrent très réticents. Personne ne nie la position éminente de l'aquaculture chinoise mais de là à leur céder l'accès à nos lagons, il y a un pas qu'ils se refusent à franchir. "Ce qui nous inquiète surtout c'est quand nous allons passer à la dernière phase, qui va être celle d'occuper les lagons", confie Winiki Sage, président de la fédération des associations d'environnement.