Le Vice-Président Teva Rohfritsch, a rencontré le président de Tahiti Nui Ocean Foods, Wang Cheng. Le financement du projet aquacole de Hao a été abordé.
•
Accompagné des responsables de l'agence CDB de Shannxi, le président de Tahiti Nui Ocean Foods a rencontre le Vice-président de la Polynésie.
Wang Cheng et Teva Rohfritsch ont eu l'occasion d'évoqué plusieurs points, tel que celui du financement du projet aquacole de Hao qui a été validé par la banque de développement de Chine.
Ont également été abordées les études menées par le Pays pour établir le « point zéro » du lagon de Hao, dont le rapport est attendu avant la fin de cette année, ainsi que les futures formations qui devraient se mettre en place. Enfin, ils ont évoqué le dossier des Installations Classées pour la Protection de l’Environnement (ICPE), auquel le projet devra se conformer strictement, puisque le Pays reste très vigilant sur toutes les questions environnementales du futur complexe aquacole.
Sur ce point, Yves Doudoute, membre fondateur de l'association Haururu déclarait sur notre antenne le 3 juin 2018 que « Tous ces déchets, cette quantité énorme de poissons, ça m’inquiète », en référence à la création du complexe industriel piscicole de Hao.
Tandis qu'en août dernier, nous vous révélons que de l'amiante était suspecté dans les pipelines entreposés sur les terrains loués par les investisseurs chinois. Une information confirmée par le maire de l'île, Théodore Tuahine. Ce dernier avait été informé par la Délégation pour la Promotion des Investissements en Polynésie française.
Le diagnostic, effectué par le Labo TP au mois de juillet, a en effet confirmé la présence d’amiante au niveau des raccords de canalisations. Mais le gouvernement a indiqué dans un communiqué que "l’avancement des travaux du projet aquacole de Hao n’est pas remis en cause malgré la présence d’amiante dans l’ancien réseau d’hydrocarbure de l’atoll en cours de démantèlement".
Ces travaux ne se situent pas dans la zone identifiée pour recevoir les futures constructions de la « base vie /chantier » et "ne remettent donc pas en cause le calendrier des travaux de la ferme aquacole de Hao".
SI le financement du projet a été accordé par la banque de développement de Chine, la ferme aquacole de Hao devrait donc voir le jour. Elle sera la première structure de ce type implantée en Polynésie et devrait produire à plein rendement, 50 000 tonnes de poissons par an.
Wang Cheng et Teva Rohfritsch ont eu l'occasion d'évoqué plusieurs points, tel que celui du financement du projet aquacole de Hao qui a été validé par la banque de développement de Chine.
Ont également été abordées les études menées par le Pays pour établir le « point zéro » du lagon de Hao, dont le rapport est attendu avant la fin de cette année, ainsi que les futures formations qui devraient se mettre en place. Enfin, ils ont évoqué le dossier des Installations Classées pour la Protection de l’Environnement (ICPE), auquel le projet devra se conformer strictement, puisque le Pays reste très vigilant sur toutes les questions environnementales du futur complexe aquacole.
Sur ce point, Yves Doudoute, membre fondateur de l'association Haururu déclarait sur notre antenne le 3 juin 2018 que « Tous ces déchets, cette quantité énorme de poissons, ça m’inquiète », en référence à la création du complexe industriel piscicole de Hao.
Tandis qu'en août dernier, nous vous révélons que de l'amiante était suspecté dans les pipelines entreposés sur les terrains loués par les investisseurs chinois. Une information confirmée par le maire de l'île, Théodore Tuahine. Ce dernier avait été informé par la Délégation pour la Promotion des Investissements en Polynésie française.
Le diagnostic, effectué par le Labo TP au mois de juillet, a en effet confirmé la présence d’amiante au niveau des raccords de canalisations. Mais le gouvernement a indiqué dans un communiqué que "l’avancement des travaux du projet aquacole de Hao n’est pas remis en cause malgré la présence d’amiante dans l’ancien réseau d’hydrocarbure de l’atoll en cours de démantèlement".
Ces travaux ne se situent pas dans la zone identifiée pour recevoir les futures constructions de la « base vie /chantier » et "ne remettent donc pas en cause le calendrier des travaux de la ferme aquacole de Hao".
SI le financement du projet a été accordé par la banque de développement de Chine, la ferme aquacole de Hao devrait donc voir le jour. Elle sera la première structure de ce type implantée en Polynésie et devrait produire à plein rendement, 50 000 tonnes de poissons par an.