Des milliers de tirs avec des matériaux radioactifs ont été réalisés au polygone d'expérimentation de Moronvilliers en Champagne, à 20 kilomètres de Reims. Le lieu était surnommé "l'antichambre du Pacifique" quand les essais nucléaires en Polynésie française y étaient conduits.
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C’est un scénario bien connu : un site d’essais nucléaires, des travailleurs et des habitants avec des taux de cancers élevés et le ministère de la Défense qui oppose le secret-défense à toute demande d’information sur ses tirs.
Mais cette fois-ci il ne s’agit ni du Sahara ni de la Polynésie française, mais de la France hexagonale. A 20 km de Reims, un lieu baptisé "l’antichambre du Pacifique" a fait l’objet d’un reportage de Thomas Lelong dans l’émission "Complément d’enquête" sur France 2.
Le site fermé en 2014 réalisait des tests sur les détonateurs de la bombe atomique. Aujourd'hui, les riverains s'inquiètent de cas de cancers, mais les autorités refusent de lever le voile.
Mais cette fois-ci il ne s’agit ni du Sahara ni de la Polynésie française, mais de la France hexagonale. A 20 km de Reims, un lieu baptisé "l’antichambre du Pacifique" a fait l’objet d’un reportage de Thomas Lelong dans l’émission "Complément d’enquête" sur France 2.
Le site fermé en 2014 réalisait des tests sur les détonateurs de la bombe atomique. Aujourd'hui, les riverains s'inquiètent de cas de cancers, mais les autorités refusent de lever le voile.
Reportage