Pas de 1er mai sans muguet, c’est la tradition. Pourtant cette année, ce sont avant tout des brins de muguet importés qui seront offerts, la production locale ayant subi les affres de Fakir.
Fleur du printemps par excellence, le muguet est indissociable du 1er mai. A l’occasion de la Fête du Travail, il est en effet de coutume d’offrir un brin de muguet aux gens qu’on aime.
Tel un porte-bonheur indispensable, les petites clochettes blanches sont ainsi prisées en ce jour. Pourtant cette année, ce ne seront pas des brins péi mais bien importés que vous pourrez trouver sur les étals.
En effet, la production locale a été littéralement soufflée par les vents de la forte tempête tropicale Fakir. La mère de Stéphane Narassamy, vendeur de muguet, a ainsi vu ses serres de Piton Fougères détruites, il y a quelques jours, et avec elles les jeunes plans en devenir. Simone Mouny a perdu plusieurs dizaines de milliers de plans, pour lesquels la femme, qui fait du muguet depuis 30 ans, avait contracté un prêt.
Tel un porte-bonheur indispensable, les petites clochettes blanches sont ainsi prisées en ce jour. Pourtant cette année, ce ne seront pas des brins péi mais bien importés que vous pourrez trouver sur les étals.
En effet, la production locale a été littéralement soufflée par les vents de la forte tempête tropicale Fakir. La mère de Stéphane Narassamy, vendeur de muguet, a ainsi vu ses serres de Piton Fougères détruites, il y a quelques jours, et avec elles les jeunes plans en devenir. Simone Mouny a perdu plusieurs dizaines de milliers de plans, pour lesquels la femme, qui fait du muguet depuis 30 ans, avait contracté un prêt.