Anthony Droui est le principal suspect du meurtre de Marie-Jeanne Meyer le 18 juin 2011. La gendarmerie, qui cherche d’éventuels complices, s’intéresse désormais à son emploi du temps dans les jours qui ont suivi les faits.
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Anthony Draoui aurait-il pu bénéficier de soutiens? Le jeune homme de 20 ans est soupçonné d’avoir mortellement poignardé la jeune Marie-Jeanne Meyer, 17 ans à Tournon-sur-Rhône en Ardèche. L’adolescente, d’origine réunionnaise, était partie faire un jogging lorsqu’elle a croisé son agresseur. Son corps avait été découvert calciné, après trois jours de recherches.
Anthony Draoui lui n’a été arrêté qu’un an plus tard, le 8 juin 2012. Entre temps, il a vécu dans les rues de Barcelone, en Espagne. Les gendarmes s’intéressent aujourd’hui tout particulièrement à la période du 18 au 21 juin 2011, révèle le quotidien le Dauphiné Libéré. En effet, avant de prendre la direction de l’Espagne, Anthony Draoui, pas encore suspecté dans le meurtre de Marie-Jeanne, avait agressé une coiffeuse le 21 juin dont le salon était situé à une trentaine de kilomètres de Tournon-sur-Rhône. Après avoir été entendu par les gendarmes, il avait été libéré le jour même, puis condamné quelques mois plus tard, en son absence, à un an de prison ferme.
Qu’a fait le suspect entre le jour du meurtre de Marie-Jeanne et l’agression de la coiffeuse ? Trois jours pendant lesquels il est resté dans la région et aurait pu, selon les gendarmes bénéficier du soutien de proches, amis ou famille. C’est sur la ville d’Annonay, toujours en Ardèche que les recherches sont concentrées. Les gendarmes sont donc en quête de tous renseignement venant de personnes qui seraient entrées en contact avec lui pendant cette période, ou même l’auraient hébergé. Le cas échéant, il les enjoignent à contacter les autorités.
Anthony Draoui lui n’a été arrêté qu’un an plus tard, le 8 juin 2012. Entre temps, il a vécu dans les rues de Barcelone, en Espagne. Les gendarmes s’intéressent aujourd’hui tout particulièrement à la période du 18 au 21 juin 2011, révèle le quotidien le Dauphiné Libéré. En effet, avant de prendre la direction de l’Espagne, Anthony Draoui, pas encore suspecté dans le meurtre de Marie-Jeanne, avait agressé une coiffeuse le 21 juin dont le salon était situé à une trentaine de kilomètres de Tournon-sur-Rhône. Après avoir été entendu par les gendarmes, il avait été libéré le jour même, puis condamné quelques mois plus tard, en son absence, à un an de prison ferme.
Qu’a fait le suspect entre le jour du meurtre de Marie-Jeanne et l’agression de la coiffeuse ? Trois jours pendant lesquels il est resté dans la région et aurait pu, selon les gendarmes bénéficier du soutien de proches, amis ou famille. C’est sur la ville d’Annonay, toujours en Ardèche que les recherches sont concentrées. Les gendarmes sont donc en quête de tous renseignement venant de personnes qui seraient entrées en contact avec lui pendant cette période, ou même l’auraient hébergé. Le cas échéant, il les enjoignent à contacter les autorités.