Le travail a repris ce vendredi 21 juin pour les salariés de la concession Renault de Saint-Denis et ceux de la SHLMR. Dans les deux cas, après près de deux semaines de grève, syndicats et directions se mettent d'accord sur les augmentations de salaires.
Paralysée depuis le 10 Juin, la SHLMR retrouve ce vendredi son fonctionnement habituel. Un véritable soulagement pour les 60 000 locataires du bailleur social. C'est sans aucun doute la médiation de la direction du travail qui a facilité la signature d'un accord en fin d'après-midi jeudi 20 juin. Les salariés de la SHLMR obtiennent une augmentation de 40 euros pour les plus bas salaires, de 35 euros pour les agents de maîtrise et 40 euros pour les cadres et des primes de 175 à 190 euros selon les catégories professionnelles.
Pour Gilbert Hoarau, le représentant de l'intersyndicale, il fallait faire preuve de responsabilités pour sortir dignement de ce conflit. Les jours de grève seront déduits des salaires sur les mois de juillet, août et septembre.
Chez Renault, la direction a proposé dès l'ouverture des discussions une revalorisation salariale de 1,3% contre 1,1% précédemment...les grévistes repartent donc avec une augmentation d'à peine 20 euros après douze jours de grève. Affaiblis financièrement et moralement, ils avaient donné consignes à leurs représentants de sortir de ce conflit coûte que coûte. Là aussi, les salaires à venir seront amputés des jours de grève. Si le travail a donc repris ce vendredi 21 Juin à Saint-Pierre, à Saint-Pierre les grévistes attendent d'avoir la confirmation que l'accord signé soit aussi étendue à leur concession.
Pour Gilbert Hoarau, le représentant de l'intersyndicale, il fallait faire preuve de responsabilités pour sortir dignement de ce conflit. Les jours de grève seront déduits des salaires sur les mois de juillet, août et septembre.
Chez Renault, la direction a proposé dès l'ouverture des discussions une revalorisation salariale de 1,3% contre 1,1% précédemment...les grévistes repartent donc avec une augmentation d'à peine 20 euros après douze jours de grève. Affaiblis financièrement et moralement, ils avaient donné consignes à leurs représentants de sortir de ce conflit coûte que coûte. Là aussi, les salaires à venir seront amputés des jours de grève. Si le travail a donc repris ce vendredi 21 Juin à Saint-Pierre, à Saint-Pierre les grévistes attendent d'avoir la confirmation que l'accord signé soit aussi étendue à leur concession.