Guito Ramoune ne sera pas candidat à sa réélection en mars 2014. Le maire PS l'annonce dans un tract distribué depuis plusieurs jours aux habitants de Petite-Île.
Guito Ramoune l'a confirmé. Il ne sera pas candidat en mars prochain. Le maire sortant de Petite-île affirmait encore le contraire début juillet dernier sur son blog, mais cette fois, la décision est prise.
Dans un texte distribué à ses administrés, le maire sortant expose les raisons de cette décision et fait preuve d'une rancoeur certaine à l'égard de plusieurs de ses adjoints: "le contexte politique ne m'a pas été favorable ces derniers mois. J'ai du reprendre des délégations accordées auparavant à des adjoints qui ne sont pas à la hauteur : travaux, environnement, urbanisme, animation, état civil...".
Il affirme également: "la politique est un moment particulier avec des codes et des comportements qui ne sont pas toujours les miens où tous les moyens sont bons pour gagner et discréditer l'adversaire. J'en ai fait les frais et c'est pratiquement un combat inégal que de se battre contre le mensonge et la calomnie".
Enfin, il conclut : "Je terminerai en vous disant de vous méfier des candidats qui lavent plus blanc que leur voisin ou encore des programmes qui ne tiennent pas compte de la réalité économique et financière des collectivités".
Dans un texte distribué à ses administrés, le maire sortant expose les raisons de cette décision et fait preuve d'une rancoeur certaine à l'égard de plusieurs de ses adjoints: "le contexte politique ne m'a pas été favorable ces derniers mois. J'ai du reprendre des délégations accordées auparavant à des adjoints qui ne sont pas à la hauteur : travaux, environnement, urbanisme, animation, état civil...".
Il affirme également: "la politique est un moment particulier avec des codes et des comportements qui ne sont pas toujours les miens où tous les moyens sont bons pour gagner et discréditer l'adversaire. J'en ai fait les frais et c'est pratiquement un combat inégal que de se battre contre le mensonge et la calomnie".
Enfin, il conclut : "Je terminerai en vous disant de vous méfier des candidats qui lavent plus blanc que leur voisin ou encore des programmes qui ne tiennent pas compte de la réalité économique et financière des collectivités".