Le marin breton, Pascal Yobé est jugé pour le meurtre de Roseline Baleinier. Il avait étranglé sa compagne le 20 janvier 2011 à Saint-Louis. L’avocat général avait requis 30 ans, il a été condamné à 18 ans de réclusion criminelle.
Le 21 janvier 2011 au matin, le corps sans vie de Roseline Baleinier, 43 ans, est retrouvé à son domicile de la Zac Avenir de Saint-Louis. Elle est allongée sur le canapé où son meurtrier l’a abandonné la veille après l’avoir étranglé avec une ceinture de judo.
Pascal Yobé, le meurtrier présumé, a laissé une lettre à côté de la malheureuse. Il reconnaît son crime et annonce qu’il a l’intention de mettre fin à ses jours pour « la retrouver ».
En fait le suicidaire n’a pas le temps de passer à l’acte. Il est interpellé par les policiers de Saint-Denis et hospitalisé alors qu’il allait sauter du pont Vinh-San.
Préméditation et assassinat retenus
Interpellé par les gendarmes, placé en garde à vue puis mis en examen. Il était depuis incarcéré.
Depuis deux jours les jurés de la cour d’assises de La Réunion doivent statuer sur le sort d’un homme maladivement jaloux. Malgré le temps qui s’est écoulé, Pascal Yobé, aujourd’hui âgé de 45 ans, est incapable d’expliquer son geste.
Il aimait Roseline Baleinier, mais papillonnait sur les sites de rencontre. Il s’auto persuadait qu’elle était infidèle.
Tout le débat entre l’accusation et la défense a été de savoir, si l’accusé avait prémédité son passage à l’acte. Pour l’avocat général, une longue lettre retrouvée sur les lieux du crime accréditait la version de l’assassinat. Il avait requis 30 de réclusion criminelle et 15 ans de sûreté. Pour la défense en revanche, Pascal Yobé avait agi de manière impulsive même s'il semblait distant et froid par rapport à ce crime. Les jurés ont rendu leur verdict : 18 ans de réclusion criminelle.
Pascal Yobé, le meurtrier présumé, a laissé une lettre à côté de la malheureuse. Il reconnaît son crime et annonce qu’il a l’intention de mettre fin à ses jours pour « la retrouver ».
En fait le suicidaire n’a pas le temps de passer à l’acte. Il est interpellé par les policiers de Saint-Denis et hospitalisé alors qu’il allait sauter du pont Vinh-San.
Préméditation et assassinat retenus
Interpellé par les gendarmes, placé en garde à vue puis mis en examen. Il était depuis incarcéré.
Depuis deux jours les jurés de la cour d’assises de La Réunion doivent statuer sur le sort d’un homme maladivement jaloux. Malgré le temps qui s’est écoulé, Pascal Yobé, aujourd’hui âgé de 45 ans, est incapable d’expliquer son geste.
Il aimait Roseline Baleinier, mais papillonnait sur les sites de rencontre. Il s’auto persuadait qu’elle était infidèle.
Tout le débat entre l’accusation et la défense a été de savoir, si l’accusé avait prémédité son passage à l’acte. Pour l’avocat général, une longue lettre retrouvée sur les lieux du crime accréditait la version de l’assassinat. Il avait requis 30 de réclusion criminelle et 15 ans de sûreté. Pour la défense en revanche, Pascal Yobé avait agi de manière impulsive même s'il semblait distant et froid par rapport à ce crime. Les jurés ont rendu leur verdict : 18 ans de réclusion criminelle.