La Commission de l’océan indien fête ses trente ans en organisant son 4ème sommet en juillet aux Comores. François Hollande, président de la République française, assistera à l’évènement. Une participation confirmée par l’Elysée.
La nouvelle est confirmée par l’Elysée à la présidence des Comores, François Hollande, président de la République française, assistera, en juillet, au 4ème sommet de la COI (Commission de l’Océan Indien). Pour l’occasion le chef de l’Etat devrait faire escale à Mayotte, dernier département d’outre-mer à avoir vu le jour, malgré l’opposition des Comores qui revendique toujours cette île de l’archipel. En revanche, si un passage de François Hollande à La Réunion a été évoqué, il n’a pas encore été confirmé.
Pour ce 30ème anniversaire, la commission pourrait être transformée en communauté. Ikililou Dhoinine, président de l’archipel des Comores qui sera l’hôte de ce rendez-vous, pourrait proposer d’examiner les demandes du Sri-Lanka et des Maldives. Deux Etats qui ont exprimés un vif intérêt pour la COI.
Les liaisons aériennes hors de prix
Pour l’occasion, il sera également question d’argent. L’Europe, principal bailleur de fonds (70% des sommes versées), conditionne sa participation à la COI à l’implication financière des pays membres. L’enveloppe est donc proportionnelles aux sommes versées par les adhérents.
Au cœur des discussions, les actions communes envisagées par les pays membres en matière maritime, numérique, audiovisuelle et aérienne. Sur ce dernier point des efforts doivent être effectués. Les liaisons régionales dans l’océan Indien sont en moyenne 185% plus chère, au kilomètre, que dans les Caraïbes. Un point noir qui plombe le tourisme dans la région et refroidi les tours opérateurs.
Pour ce 30ème anniversaire, la commission pourrait être transformée en communauté. Ikililou Dhoinine, président de l’archipel des Comores qui sera l’hôte de ce rendez-vous, pourrait proposer d’examiner les demandes du Sri-Lanka et des Maldives. Deux Etats qui ont exprimés un vif intérêt pour la COI.
Les liaisons aériennes hors de prix
Pour l’occasion, il sera également question d’argent. L’Europe, principal bailleur de fonds (70% des sommes versées), conditionne sa participation à la COI à l’implication financière des pays membres. L’enveloppe est donc proportionnelles aux sommes versées par les adhérents.
Au cœur des discussions, les actions communes envisagées par les pays membres en matière maritime, numérique, audiovisuelle et aérienne. Sur ce dernier point des efforts doivent être effectués. Les liaisons régionales dans l’océan Indien sont en moyenne 185% plus chère, au kilomètre, que dans les Caraïbes. Un point noir qui plombe le tourisme dans la région et refroidi les tours opérateurs.
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