Ti-Maurice, 46 ans, aurait été tué dans sa case du Guillaume à Saint-Paul dans la soirée du lundi 7 Avril 2014. Les gendarmes ont placé un suspect en garde à vue. L’homme, âgé d’une trentaine d’années, pourrait être présenté au parquet dans la journée.
Un homme d’une trentaine d’années, originaire du Guillaume dans les hauts de Saint-Paul a été placé en garde à vue dans l’enquête sur le meurtre de Ti-Maurice.
Agée de 46 ans, la victime s’adonnait régulièrement à la boisson. Passion qu’elle partageait avec de nombreux « camarades » du village. Pour les proches de Maurice Aipar, cette intempérance est à l’origine du drame.
Un coup mortel à la tête
Dans la soirée du lundi 7 Avril 2014, voisins et membres de la famille du disparu entendent des bruits suspects en provenance de la case en bois sous-tôles de Ti-Maurice. Deux jours plus tard, inquiets, de ne pas avoir vu le quadragénaire, ils se rendent à son domicile et découvrent son corps sans vie. L’autopsie va révéler que le malheureux a reçu plusieurs coups violents au niveau de la tête, dont l’un a été mortel.
Le gardé à vue aurait participé avec d’autres à ce lynchage. Reste aux gendarmes de la brigade des recherches à définir la raison de ce crime. Argent, alcool, zamal, toutes les pistes sont étudiées.
Pour son frère l'origine criminelle ne fait aucun doute.
Agée de 46 ans, la victime s’adonnait régulièrement à la boisson. Passion qu’elle partageait avec de nombreux « camarades » du village. Pour les proches de Maurice Aipar, cette intempérance est à l’origine du drame.
Un coup mortel à la tête
Dans la soirée du lundi 7 Avril 2014, voisins et membres de la famille du disparu entendent des bruits suspects en provenance de la case en bois sous-tôles de Ti-Maurice. Deux jours plus tard, inquiets, de ne pas avoir vu le quadragénaire, ils se rendent à son domicile et découvrent son corps sans vie. L’autopsie va révéler que le malheureux a reçu plusieurs coups violents au niveau de la tête, dont l’un a été mortel.
Le gardé à vue aurait participé avec d’autres à ce lynchage. Reste aux gendarmes de la brigade des recherches à définir la raison de ce crime. Argent, alcool, zamal, toutes les pistes sont étudiées.
Pour son frère l'origine criminelle ne fait aucun doute.
T-CHAPUIS