L’enquête de la gendarmerie, spécialisée dans les transports aériens, confirme, que le crash de l’Ulm en septembre 2013, est dû à une erreur de pilotage. Prise de risque et météo défavorable ont conduit à la mort du pilote de sa passagère.
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La BGTA (Brigade de gendarmerie du transport aérien) conclu son enquête en expliquant : « cet accident est dû à la décision du pilote de poursuivre le vol dans des conditions météorologiques défavorables », révèle le Quotidien. Les experts poursuivent leur analyse en soulignant que ce crash est devenu inévitable: « la connaissance des lieux et l’expérience importante du pilote ont pu l’inciter à prendre la décision de continuer son vol ».
Une réflexion sur l’avenir
Ce crash du 17 septembre 2013 au niveau du piton Mazerin avait fait deux morts : le pilote et sa passagère. Pour la BGTA, si aucune poursuite ne peut être engagée contre le pilote décédé, il faut se poser la question de la responsabilité de l’entreprise Félix-Ulm. Par ailleurs, les gendarmes signalent qu’une réunion va avoir lieu dans les prochains jours avec l’aviation civile pour réfléchir aux contrats passés entre les pilotes et les sociétés d’ultras-légers motorisés, sur les hauteurs de vol des engins et sur une meilleure application des règles de sécurité.
Une réflexion sur l’avenir
Ce crash du 17 septembre 2013 au niveau du piton Mazerin avait fait deux morts : le pilote et sa passagère. Pour la BGTA, si aucune poursuite ne peut être engagée contre le pilote décédé, il faut se poser la question de la responsabilité de l’entreprise Félix-Ulm. Par ailleurs, les gendarmes signalent qu’une réunion va avoir lieu dans les prochains jours avec l’aviation civile pour réfléchir aux contrats passés entre les pilotes et les sociétés d’ultras-légers motorisés, sur les hauteurs de vol des engins et sur une meilleure application des règles de sécurité.