Le maloya, moderne ou traditionnel est inscrit au patrimoine culturel immatériel de l’humanité de l’Unesco depuis le 1er octobre 2009
Le disque 45 tours de la troupe de Firmin Viry en 1976 fait connaître au plus grand nombre le maloya, qui était chanté et dansé jusque là dans le « service kabaré » à la mémoire des ancêtres. Le maloya trouve ses origines dans les chants des esclaves malgaches et d’Afrique de l’Est.
Voici un extrait de la convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel
« On entend par patrimoine culturel immatériel les pratiques, représentations, expressions, connaissances et savoir-faire – ainsi que les instruments, objets, artefacts et espaces culturels qui leur sont associés – que les communautés, les groupes et, le cas échéant, les individus reconnaissent comme faisant partie de leur patrimoine culturel. Ce patrimoine culturel immatériel, transmis de génération en génération, est recréé en permanence par les communautés et groupes en fonction de leur milieu, de leur interaction avec la nature et de leur histoire, et leur procure un sentiment d’identité et de continuité, contribuant ainsi à promouvoir le respect de la diversité culturelle et la créativité humaine. Aux fins de la présente Convention, seul sera pris en considération le patrimoine culturel immatériel conforme aux instruments internationaux existants relatifs aux droits de l’homme, ainsi qu’à l’exigence du respect mutuel entre communautés, groupes et individus, et d’un développement durable. »
A La Réunion les femmes ont repris le flambeau longtemps porté par le Roi Kal, Gran'moun Lélé, Firmin Viry, et Daniel Waro
En images avec Jean-Regis Ramssamy et Claude Testa
En interview
Un extrait d'un concert de Firmin Viry au Théâtre en plein air de Saint-Gilles
Le maloya de Daniel Waro
Voici un extrait de la convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel
« On entend par patrimoine culturel immatériel les pratiques, représentations, expressions, connaissances et savoir-faire – ainsi que les instruments, objets, artefacts et espaces culturels qui leur sont associés – que les communautés, les groupes et, le cas échéant, les individus reconnaissent comme faisant partie de leur patrimoine culturel. Ce patrimoine culturel immatériel, transmis de génération en génération, est recréé en permanence par les communautés et groupes en fonction de leur milieu, de leur interaction avec la nature et de leur histoire, et leur procure un sentiment d’identité et de continuité, contribuant ainsi à promouvoir le respect de la diversité culturelle et la créativité humaine. Aux fins de la présente Convention, seul sera pris en considération le patrimoine culturel immatériel conforme aux instruments internationaux existants relatifs aux droits de l’homme, ainsi qu’à l’exigence du respect mutuel entre communautés, groupes et individus, et d’un développement durable. »
A La Réunion les femmes ont repris le flambeau longtemps porté par le Roi Kal, Gran'moun Lélé, Firmin Viry, et Daniel Waro
En images avec Jean-Regis Ramssamy et Claude Testa
En interview
- Mario Serviable, historien
- Maeva
- Cloe
- Manon
- Christine Salem
- Katy Toave
- Emmanuelle Peters
- Françoise Guimbert
- Yoland Velleyen, vice président conseil régional chargé de du patrimoine
Un extrait d'un concert de Firmin Viry au Théâtre en plein air de Saint-Gilles
Le maloya de Daniel Waro