Le braqueur a reconnu les faits. Difficile de nier quand on est interpellé en flagrant délit par un témoin. Mathieu Imiza, 20 ans, a été mis en examen pour "vol avec arme et tentative de vol avec arme" et placé en détention provisoire. Son complice s'est rendu ce jeudi matin.
Les deux braquages qui ont échoué au Tampon, puis à Saint-Pierre, mardi matin, pourraient prêter à sourire. Leurs auteurs, deux délinquants déjà connus de la justice, ont manifestement improvisé ces vols à main armé le jour de leur passage à l’acte.
Munis d’un pistolet d’alarme, ils étaient persuadés de pouvoir se faire remettre les caisses des commerces sans la moindre difficulté. Un plan qui a échoué de A à Z. Non seulement, les « Pieds nickelés » sont repartis bredouilles de la station-service du Tampon, mais lors du second coup de force Mathieu Imiza a été arrêté par un client aidé du patron des lieux. Un fiasco qui a pourtant laissé des traces.
Les deux victimes directes de ces coups de force ont eu sous le nez un revolver, sans pouvoir savoir s’il était d’alarme ou non. D’ailleurs le code de procédure pénale ne fait pas de distinction entre un revolver « factice » et « une vraie arme ». Pour le braqué, le choc est identique.
Condamné pour des vols
Mathieu Imiza a donc reconnu les faits sans difficulté lors de sa garde à vue. Son complice, le pilote du deux-roues, a également été identifié. Il s'est rendu ce matin.
La présentation d’Imiza devant le procureur de la République a eu lieu ce matin. Il a été incarcéré à l’issue de son passage au tribunal.
Munis d’un pistolet d’alarme, ils étaient persuadés de pouvoir se faire remettre les caisses des commerces sans la moindre difficulté. Un plan qui a échoué de A à Z. Non seulement, les « Pieds nickelés » sont repartis bredouilles de la station-service du Tampon, mais lors du second coup de force Mathieu Imiza a été arrêté par un client aidé du patron des lieux. Un fiasco qui a pourtant laissé des traces.
Les deux victimes directes de ces coups de force ont eu sous le nez un revolver, sans pouvoir savoir s’il était d’alarme ou non. D’ailleurs le code de procédure pénale ne fait pas de distinction entre un revolver « factice » et « une vraie arme ». Pour le braqué, le choc est identique.
Condamné pour des vols
Mathieu Imiza a donc reconnu les faits sans difficulté lors de sa garde à vue. Son complice, le pilote du deux-roues, a également été identifié. Il s'est rendu ce matin.
La présentation d’Imiza devant le procureur de la République a eu lieu ce matin. Il a été incarcéré à l’issue de son passage au tribunal.