D’après notre confrère du JIR ce matin, l’ancien magistrat réunionnais, principal suspect dans l’affaire du « Corbeau » au tribunal de grande instance de Saint Denis, a été mis en examen le 26 novembre dernier à Paris.
Convoqué le 26 novembre dernier, l’ancien procureur de la Réunion, a été mis en examen pour des faits présumés d’ « injures publiques, de diffamations publiques et accès frauduleux à un système automatisé de données », par la juge d’instruction en charge de l’affaire.
Il est suspecté d’avoir envoyé à des magistrats, greffiers et personnels administratifs, des messages dénigrant l’ancien secrétaire général adjoint de l’Union Syndical des Magistrats, François Thévenot… Le syndicaliste et sous-procureur de Saint Pierre, dénonçait les méthodes de management très contestées du procureur.
Le magistrat du Sud a alors porté plainte et une enquête a été ouverte. Une perquisition le 20 juin dernier a permis de saisir au domicile de Philippe Muller, son portable, et le disque dur de son ordinateur, au Palais de Justice… des éléments venus renforcer la décision de mise en examen.
Un dossier dépaysé à Paris à la demande du parquet de la Réunion, pour des questions d’impartialité et de bonne administration de la justice.
D’après notre confrère du JIR, Philippe Muller a contesté les faits qui lui sont reprochés et a refusé d’être entendu sur le fond du dossier.
Il doit donc être à nouveau convoqué par la juge d’instruction en charge de l’affaire.
Il est suspecté d’avoir envoyé à des magistrats, greffiers et personnels administratifs, des messages dénigrant l’ancien secrétaire général adjoint de l’Union Syndical des Magistrats, François Thévenot… Le syndicaliste et sous-procureur de Saint Pierre, dénonçait les méthodes de management très contestées du procureur.
Le magistrat du Sud a alors porté plainte et une enquête a été ouverte. Une perquisition le 20 juin dernier a permis de saisir au domicile de Philippe Muller, son portable, et le disque dur de son ordinateur, au Palais de Justice… des éléments venus renforcer la décision de mise en examen.
Un dossier dépaysé à Paris à la demande du parquet de la Réunion, pour des questions d’impartialité et de bonne administration de la justice.
D’après notre confrère du JIR, Philippe Muller a contesté les faits qui lui sont reprochés et a refusé d’être entendu sur le fond du dossier.
Il doit donc être à nouveau convoqué par la juge d’instruction en charge de l’affaire.