Des artisans du Sud s’affichent dans le plus simple appareil, depuis quelques jours, dans les rues Saint-Pierre. Des photos artistiques réalisées par Edgar, pour mettre en lumière ces hommes et ces femmes membres de l’association Les Mains Libres.
L’aventure démarre par un constat. Les artisans du Sud souffrent d’un manque de notoriété. Individuellement, ils ne peuvent pas se payer de campagnes de publicité comme les grandes enseignes. Pour palier à ce frein non-négligeable, ils se sont regroupés au sein de l’association Les Mains Libres. 9 au mois d’Août, ils sont plus de 30 aujourd’hui. Rien de comparable avec une multinationale, mais en s’associant, ils apportent leurs idées et les quelques moyens financiers disponibles pour ces affiches originales.
Les lieux sont symboliques
Le photographe, Edgar a mis son talent à leur disposition. L’idée, de photos d’anonymes, nus n’était pas originale, si il avait été question de publier un énième calendrier. La nouveauté vient de l’exploitation des clichés. Ils sont exposés sur les murs de la ville à des endroits inattendus et symboliques. Une grande surface du front de mer, une zone industrielle, une rue commerçante autant de lieux dont ces artisans sont éloignés.
L’artisanat et ses artisans sortent de l’ombre
Des plaquettes avec une photo et deux lignes complètent ce coup de « pub » intelligent. Ici, un boulanger, là une couturière, là-bas un restaurateur avec un slogan qui leur correspond. « De fil en aiguille les liens se tisse », « du pain des jeux… pourvu qu’ils soient péï », et « les créations sont la poésie du cœur », il n’est pas question d’argent, de prix, mais d’humains qui travaillent avec leurs mains pour servir au mieux les autres. Certes le concept n’est pas nouveau et au final, il y a une addition, mais grâce à cette initiative l’artisanat sort de l’anonymat.
Les lieux sont symboliques
Le photographe, Edgar a mis son talent à leur disposition. L’idée, de photos d’anonymes, nus n’était pas originale, si il avait été question de publier un énième calendrier. La nouveauté vient de l’exploitation des clichés. Ils sont exposés sur les murs de la ville à des endroits inattendus et symboliques. Une grande surface du front de mer, une zone industrielle, une rue commerçante autant de lieux dont ces artisans sont éloignés.
L’artisanat et ses artisans sortent de l’ombre
Des plaquettes avec une photo et deux lignes complètent ce coup de « pub » intelligent. Ici, un boulanger, là une couturière, là-bas un restaurateur avec un slogan qui leur correspond. « De fil en aiguille les liens se tisse », « du pain des jeux… pourvu qu’ils soient péï », et « les créations sont la poésie du cœur », il n’est pas question d’argent, de prix, mais d’humains qui travaillent avec leurs mains pour servir au mieux les autres. Certes le concept n’est pas nouveau et au final, il y a une addition, mais grâce à cette initiative l’artisanat sort de l’anonymat.