Les médecins spécialistes partent à la retraite et les jeunes médecins ne sont pas encore formés pour les remplacer.
C’est la conséquence du numérus clausus qui fixe le nombre d’étudiants pouvant être admis en deuxième année des facultés de médecines françaises.
Il a été institué à l’origine pour limiter le nombre de prescriptions, et les dépenses de santé.
Mais la population vieillit et le nombre des visites chez l’ophtalmo ou l’allergologue augmente.
Les spécialistes envisagent de prolonger leur activité, au-delà de l’âge de la retraite, car il n’y a pas de jeunes médecins formés pour les remplacer.
Ceux qui restent en activité, travaillent plus de 10 heures par jour.
Malgré cela, les salles d’attente des cabinets sont bondées et il faut patienter en moyenne 2 mois pour obtenir un rendez-vous.
En images avec Jean-Claude Toihir, Thierry Chanayer, et Thierry Custine
En interview
Il a été institué à l’origine pour limiter le nombre de prescriptions, et les dépenses de santé.
Mais la population vieillit et le nombre des visites chez l’ophtalmo ou l’allergologue augmente.
Les spécialistes envisagent de prolonger leur activité, au-delà de l’âge de la retraite, car il n’y a pas de jeunes médecins formés pour les remplacer.
Ceux qui restent en activité, travaillent plus de 10 heures par jour.
Malgré cela, les salles d’attente des cabinets sont bondées et il faut patienter en moyenne 2 mois pour obtenir un rendez-vous.
En images avec Jean-Claude Toihir, Thierry Chanayer, et Thierry Custine
En interview
- Docteur Daniel Jatob, président Conseil de l'ordre des médecins
- Docteur Bachir Omarjee, allergologue
- Docteur François Rahamani, président Union des médecins libéraux O.I.
- Docteur Patrick Gros, dermatologue
- Docteur Tawfiq Henni, président Commission médicale d'établissement - CHU de La Réunion
- David Gruson, directeur CHU de La Réunion