Devant la cour d’assises, comme face au juge d’instruction ou en garde à vue José Humbert a reconnu avoir tué sa demi-sœur. L'homme a été condamné par les jurés à 25 ans de réclusion criminelle.
Léonie Humbert, grande sœur et victime de José, ne se doutait pas qu’elle avait élevée son meurtrier.
Pourtant, le 3 juin 2013, l’accusé ne va pas hésiter un seul instant à frapper sa demi-sœur à sept reprises avec un couteau de cuisine.
Comme devant les policiers qui l’ont interpellé à Basse-Terre, le prévenu a expliqué aux jurés de la cour d’assises les raisons de ce geste fou. Selon lui, Léonie, enfant adopté par ses parents, lui a volé son nom et son héritage. Depuis la mort de son père et de sa mère, il reproche à son aînée d’avoir vendu la case familiale et de ne pas lui avoir donné l’argent.
Toute sa haine s’est construite au fil du temps sur cet événement. Quand le 2 Juin, la victime ose lui reprocher de rentrer saoul et de ne rien faire de ses journées, sa rancœur devient incontrôlable. Toute la nuit, il va penser à sa vengeance…
L’avocat général avait requis, ce mardi matin, 25 ans de réclusion à l'encontre de José Humbert. Les jurés ont donc suivi les réquisitions du ministère public.
Pourtant, le 3 juin 2013, l’accusé ne va pas hésiter un seul instant à frapper sa demi-sœur à sept reprises avec un couteau de cuisine.
Comme devant les policiers qui l’ont interpellé à Basse-Terre, le prévenu a expliqué aux jurés de la cour d’assises les raisons de ce geste fou. Selon lui, Léonie, enfant adopté par ses parents, lui a volé son nom et son héritage. Depuis la mort de son père et de sa mère, il reproche à son aînée d’avoir vendu la case familiale et de ne pas lui avoir donné l’argent.
Toute sa haine s’est construite au fil du temps sur cet événement. Quand le 2 Juin, la victime ose lui reprocher de rentrer saoul et de ne rien faire de ses journées, sa rancœur devient incontrôlable. Toute la nuit, il va penser à sa vengeance…
L’avocat général avait requis, ce mardi matin, 25 ans de réclusion à l'encontre de José Humbert. Les jurés ont donc suivi les réquisitions du ministère public.