Deux femmes ont été condamnées à un an de prison avec sursis pour des vols dans des cabinets médicaux et un magasin de Saint-Denis. Elles demandaient à leurs enfants, âgés de 3 à 10 ans, de dérober l’argent dans les sacs à main, ou d’emporter des ordinateurs.
La fine équipe est composée au total de trois femmes et de leurs quatorze enfants. Quand la petite bande arrive chez un médecin ou dans un magasin, les 14 marmailles transforment le cabinet médical ou le magasin en cour de récréation. La confusion profite aux voleurs en herbe qui se mettent à fouiller partout. La secrétaire médicale ou la vendeuse, débordée, ne voit pas que l’un des fauteurs de trouble a fait main basse sur son sac pour lui voler de l’argent liquide.
Entre le 30 Janvier et le 18 Février 2015, la petite bande très bien organisée, compte six vols dans des cabinets médicaux et un dans un magasin de vêtements. Outre des numéraires, les enfants sont parvenus à faire main basse sur un ordinateur portable.
Jugé dans le cadre des comparutions immédiates, deux des mères majeures (la troisième est encore mineure) se sont confondues en excuses. Cependant le procureur de la République, comme la présidente du tribunal se sont inquiétés de l’avenir de leurs 14 enfants.
L’avocat commis d’office a plaidé la nécessité. Trois femmes qui vivent d’allocations familiales (1 200 Euros par mois chacune).
Un argument qui n’a pas convaincu les juges. Les deux mères de famille sont ressorties libres, mais condamnées à un an de prison avec sursis.
Les services sociaux ont été alertés. Elles seront désormais suivies…
Entre le 30 Janvier et le 18 Février 2015, la petite bande très bien organisée, compte six vols dans des cabinets médicaux et un dans un magasin de vêtements. Outre des numéraires, les enfants sont parvenus à faire main basse sur un ordinateur portable.
Jugé dans le cadre des comparutions immédiates, deux des mères majeures (la troisième est encore mineure) se sont confondues en excuses. Cependant le procureur de la République, comme la présidente du tribunal se sont inquiétés de l’avenir de leurs 14 enfants.
L’avocat commis d’office a plaidé la nécessité. Trois femmes qui vivent d’allocations familiales (1 200 Euros par mois chacune).
Un argument qui n’a pas convaincu les juges. Les deux mères de famille sont ressorties libres, mais condamnées à un an de prison avec sursis.
Les services sociaux ont été alertés. Elles seront désormais suivies…