A l’issue de trois jours de procès, Pascal Poudroux et Daisy Delaplaine ont été condamnés à 30 ans de prison. Le couple infernal a été reconnu coupable de séquestration, viol et actes de barbarie sur la mère du jeune homme et sur 4 sans domicile fixe.
Après trois jours de procès, les jurés des assises ont déclaré Pascal Poudroux et Daisy Delaplaine coupable. Un verdict attendu par les 5 victimes qui viennent d’être reconnues dans leur statut d’être humain.
Au-delà des coups et des sévices les bourreaux en maltraitant leurs victimes niaient l’humanité de ces hommes et de cette femme. Totalement dépourvus d’empathie, selon les experts psychiatres venus témoigner à la barre, Daisy Delaplaine comme Pascal Poudroux n’ont jamais exprimé le moindre remords. Leur unique défense consistait à rejeter la responsabilité des actes les plus graves sur le conjoint.
A tour de rôle, ils se sont accusés d’avoir agi sous l’influence de l’autre.
Des accusés dépourvus d’empathie
Daisy Delaplaine, 42 ans, mère de quatre enfants, est pourvue d’une « intelligence pratique » selon les psys. En clair, elle n’est pas très évoluée, mais sait faire la distinction entre le bien et le mal. Pour les spécialistes, elle nie les viols et les sévices sexuels car elle a conscience de la gravité de ses actes.
Pascal Poudroux, 34 ans, est nettement plus intelligent. Pour les alliénistes, il s’est livré de bonne grâce aux jeux pervers de sa compagne. Les séquestrations et le vol des RSA lui permettaient de jouer au casino et au PMU.
L’avocat général qui a tenté pendant trois jours d’obtenir un début de reconnaissance des faits de la part des accusés s’est heurté à un mur de silence. Il avait requis 30 ans à l’encontre de Daisy Delaplaine et Pascal Poudroux. Il a été entendu.
Au-delà des coups et des sévices les bourreaux en maltraitant leurs victimes niaient l’humanité de ces hommes et de cette femme. Totalement dépourvus d’empathie, selon les experts psychiatres venus témoigner à la barre, Daisy Delaplaine comme Pascal Poudroux n’ont jamais exprimé le moindre remords. Leur unique défense consistait à rejeter la responsabilité des actes les plus graves sur le conjoint.
A tour de rôle, ils se sont accusés d’avoir agi sous l’influence de l’autre.
Des accusés dépourvus d’empathie
Daisy Delaplaine, 42 ans, mère de quatre enfants, est pourvue d’une « intelligence pratique » selon les psys. En clair, elle n’est pas très évoluée, mais sait faire la distinction entre le bien et le mal. Pour les spécialistes, elle nie les viols et les sévices sexuels car elle a conscience de la gravité de ses actes.
Pascal Poudroux, 34 ans, est nettement plus intelligent. Pour les alliénistes, il s’est livré de bonne grâce aux jeux pervers de sa compagne. Les séquestrations et le vol des RSA lui permettaient de jouer au casino et au PMU.
L’avocat général qui a tenté pendant trois jours d’obtenir un début de reconnaissance des faits de la part des accusés s’est heurté à un mur de silence. Il avait requis 30 ans à l’encontre de Daisy Delaplaine et Pascal Poudroux. Il a été entendu.