Rallier le chef-lieu en venant de l’Ouest ou l’Ouest en venant du chef-lieu via la route de La Montagne est long, très long. Mardi les automobilistes mettaient 3 heures. Ce mercredi, il fallait compter 4 heures.
Trois, quatre, cinq virages et le bouchon commence. Il est 6 heures, ce mercredi 11 Mars, seconde journée de fermeture de la route du littoral. Les usagers travaillant dans le Nord ou dans l’Ouest sont là, ils se suivent en file indienne sur les 33 kilomètres qui les séparent de leur destination.
Les camions de livraison sont bloqués à l’entrée de la quatre-voies. Une dizaine de convois sont organisés quotidiennement pour permettre aux transporteurs de travailler sans s’engager sur le CD 41. Une mesure censée fluidifier la circulation.
Pour ce mercredi matin, l’effet est invisible. Le bouchon commence dans les rampes de La Ravine-à-Malheur et se poursuit jusqu’à Saint-Denis. Vitesse moyenne estimée, selon Yves Gruyer, le monsieur route de Réunion 1ère, 7 kilomètres heures.
Autant dire qu’il faut être déterminé et patient. L’employé doit non seulement faire preuve de « zénitude » derrière son volant, mais également en arrivant à destination.
Les hôtels affichent complet
Pour éviter cette dose de stress dès le début de la journée, l’automobiliste condamné au CD 41, doit envisager l’exil. Une chambre dans la famille, un canapé chez un ami ou pour ceux qui ont les moyens, l’hôtel. Des établissements pris d’assaut dès l’annonce de la fermeture de la route du littoral et qui, sur Saint-Denis, sont nombreux à afficher complet.
L’éboulis, survenu lundi, affecte la vie des usagers de la route du Nord, de l’Ouest, mais également du village de La Montagne.
Il y a 9000 véhicules/jour comptabilisés sur cette route habituellement entre Saint-Denis et La Montagne.
Des usagers soumis à des bouchons quotidiens aux heures de pointe qui voient leurs déplacements se compliquer depuis ce mardi.
Les camions de livraison sont bloqués à l’entrée de la quatre-voies. Une dizaine de convois sont organisés quotidiennement pour permettre aux transporteurs de travailler sans s’engager sur le CD 41. Une mesure censée fluidifier la circulation.
Pour ce mercredi matin, l’effet est invisible. Le bouchon commence dans les rampes de La Ravine-à-Malheur et se poursuit jusqu’à Saint-Denis. Vitesse moyenne estimée, selon Yves Gruyer, le monsieur route de Réunion 1ère, 7 kilomètres heures.
Autant dire qu’il faut être déterminé et patient. L’employé doit non seulement faire preuve de « zénitude » derrière son volant, mais également en arrivant à destination.
Les hôtels affichent complet
Pour éviter cette dose de stress dès le début de la journée, l’automobiliste condamné au CD 41, doit envisager l’exil. Une chambre dans la famille, un canapé chez un ami ou pour ceux qui ont les moyens, l’hôtel. Des établissements pris d’assaut dès l’annonce de la fermeture de la route du littoral et qui, sur Saint-Denis, sont nombreux à afficher complet.
L’éboulis, survenu lundi, affecte la vie des usagers de la route du Nord, de l’Ouest, mais également du village de La Montagne.
Il y a 9000 véhicules/jour comptabilisés sur cette route habituellement entre Saint-Denis et La Montagne.
Des usagers soumis à des bouchons quotidiens aux heures de pointe qui voient leurs déplacements se compliquer depuis ce mardi.