Dans le quartier des écoles à Saint-Denis il y avait en 2005 onze maisons créoles , il en reste quatre aujourd’hui.
Pour Robert Gauvin «le pire ennemie de la case créole ce n’est plus le cyclone ou le carias, aujourd’hui c’est le spéculateur».
Le terrain en centre ville coûte très cher, et pour rentabiliser son achat, le promoteur construit un maximum d’appartements dans un espace restreint.
Remettre en état une case créole revient deux fois plus cher que de construire une maison en béton.
Souvent, un désaccord entre les héritiers ou une indivision qui semble insoluble et la maison créole se retrouve en danger.
Elle va se dégrader jusqu’à disparaître dans un incendie ou être broyée par une pelleteuse.
En images avec Thierry Chenayer et Sully Grondin / Photos :7 Lames la mer
En interview
Le terrain en centre ville coûte très cher, et pour rentabiliser son achat, le promoteur construit un maximum d’appartements dans un espace restreint.
Remettre en état une case créole revient deux fois plus cher que de construire une maison en béton.
Souvent, un désaccord entre les héritiers ou une indivision qui semble insoluble et la maison créole se retrouve en danger.
Elle va se dégrader jusqu’à disparaître dans un incendie ou être broyée par une pelleteuse.
En images avec Thierry Chenayer et Sully Grondin / Photos :7 Lames la mer
En interview
- Robert GAUVIN, retraité
- Françoise LAMBERT
- Guillaume de gery, propriétaire
- Jean-Philippe RAVAUX, architecte