Une personne, ou un groupe de personnes, probablement les mêmes souillent des lieux de prière depuis plusieurs jours.
Après la Vierge au Parasol dans le Grand Brulé, un temple Tamoul à Cambuston, un autre à Bel Air, la statue de Notre Dame de Lourdes à Sainte-Anne, cette fois c'est le cimetière de l'Est qui a été la cible des tagueurs à la peinture rouge.
Comme dans les autres lieux de culte ou de recueillement, les vandales ont laissé derrière eux des inscriptions sataniques, des tridents et une étoile de David dessinés à la bombe aérosol.
Les tagueurs risquent 7 ans de prison et 100 000 euros d'amende
Lundi en fin de journée, le préfet de La Réunion a indiqué dans un communiqué qu'il condamnait sans réserve ces dégradations des lieux de culte. Une enquête est ouverte. Le parquet de Saint-Denis dirige et coordonne les investigations des services de police et de Gendarmerie pour démasquer au plus vite les auteurs de ces profanations.
Pour mémoire, les auteurs de ces dégradations encourent 7 ans de prison et 100 000 euros d'amende.
En images avec Jean-Régis Ramsamy et Alexandra Pech et Michèle Canaple
Comme dans les autres lieux de culte ou de recueillement, les vandales ont laissé derrière eux des inscriptions sataniques, des tridents et une étoile de David dessinés à la bombe aérosol.
Les tagueurs risquent 7 ans de prison et 100 000 euros d'amende
Lundi en fin de journée, le préfet de La Réunion a indiqué dans un communiqué qu'il condamnait sans réserve ces dégradations des lieux de culte. Une enquête est ouverte. Le parquet de Saint-Denis dirige et coordonne les investigations des services de police et de Gendarmerie pour démasquer au plus vite les auteurs de ces profanations.
Pour mémoire, les auteurs de ces dégradations encourent 7 ans de prison et 100 000 euros d'amende.
En images avec Jean-Régis Ramsamy et Alexandra Pech et Michèle Canaple
Réunion 1ère : Jean-Régis Ramsamy - Alexandra Pech - Michèle Canaple