C'est le sujet qui fâche dans le monde agricole actuellement, le début de la saison canne qui approche à grands pas, avec son lot de problèmes à gérer.
L'inquiétude, toujours, chez les agriculteurs... à un mois du début théorique de la campagne sucrière, la nouvelle convention canne n'a toujours pas été signée... Les organisations professionnelles ne cessent de tirer la sonnette d’alarme et malgré les rencontres avec le préfet voire les annonces du président Hollande sur les mesures compensatoires, on peut parler de stand-by.
Samedi matin, les représentants de la FDSEA et des Jeunes agriculteurs se sont rassemblés à l’usine de Beaufonds à Saint-Benoît et ils n’ont pas caché leur préoccupation avec une pointe d’exaspération, estimant ne pas être pris au sérieux par certains.
La convention canne figure au premier rang des dossiers à gérer selon les deux organisations ; ils réclament une révision globale des mécanismes de règlements estimant nécessaire de prendre en compte la modernisation des usines ou encore les nouveaux débouchés comme par exemple les sucres spéciaux.
Menaces de manifestations
La FDSEA et les JA veulent également une révision de la recette bagasse, les acteurs de la canne estiment être mal payés.
Si le préfet de région a bien promis une réunion prochainement avec l’ensemble des acteurs de la filière canne, les agriculteurs feront le déplacement mais la menace de manifestations diverses et notamment d’une opération escargot est brandie.
A un mois du début de la récolte, la tension est bien palpable et les prochains jours seront importants dans le cadre du dialogue entre partenaires, il n’a évidemment pas échappé aux agriculteurs qu’en terme de calendrier, la Réunion s’apprête à recevoir le premier ministre dans quelques jours.
Samedi matin, les représentants de la FDSEA et des Jeunes agriculteurs se sont rassemblés à l’usine de Beaufonds à Saint-Benoît et ils n’ont pas caché leur préoccupation avec une pointe d’exaspération, estimant ne pas être pris au sérieux par certains.
La convention canne figure au premier rang des dossiers à gérer selon les deux organisations ; ils réclament une révision globale des mécanismes de règlements estimant nécessaire de prendre en compte la modernisation des usines ou encore les nouveaux débouchés comme par exemple les sucres spéciaux.
Menaces de manifestations
La FDSEA et les JA veulent également une révision de la recette bagasse, les acteurs de la canne estiment être mal payés.
Si le préfet de région a bien promis une réunion prochainement avec l’ensemble des acteurs de la filière canne, les agriculteurs feront le déplacement mais la menace de manifestations diverses et notamment d’une opération escargot est brandie.
A un mois du début de la récolte, la tension est bien palpable et les prochains jours seront importants dans le cadre du dialogue entre partenaires, il n’a évidemment pas échappé aux agriculteurs qu’en terme de calendrier, la Réunion s’apprête à recevoir le premier ministre dans quelques jours.