Avec 20 000 entrées, la 12ème édition du Sakifo a une nouvelle fois su séduire le public réunionnais. Habitué aux têtes d’affiche depuis 2 ans, le festival avait cette année fait le pari des découvertes.
C’est satisfait que le directeur du Sakifo, Jérôme Galabert, achève son festival. Une 12ème édition « pas gagnée d’avance », confie-t-il, car, à la différence des deux dernières années, les têtes d’affiche étaient moins nombreuses. On se souvient en effet d’artistes tels que Stromae ou encore M qui avaient déplacé les foules en masse. Deux éditions « hors normes », selon lui.
Cette année, il y eu « pas mal de prise de risque, de découvertes et les gens sont venus pour ces découvertes, cela prouve que le festival répond apparemment aux attentes ». Un parti pris aux airs de retour aux sources, « on revient 3 ans en arrière où on se demandait si ça allait prendre. On est revenu à ce qu’on est et ça fait vraiment plaisir de voir que le public a répondu. »
Même la pluie, qui s’était invitée un temps le samedi soir, n’a pas perturbé la tenue des concerts. Jérôme Galabert se félicite d’ailleurs que malgré l’interruption de celui de Julien Doré, d’autres scènes ont pu continuer à fonctionner, et « la musique ne s’est jamais arrêtée ».
Et si du côté de l’organisation, l’édition 2015 s’est professionnalisée, quelques points restent toujours à peaufiner. Des améliorations ont certes été apportées au fil des années, mais le directeur du festival reste cependant attentif à ce qui peut encore poser problème. C’est notamment le cas pour l’achat des jetons pour les boissons. Durant la première soirée, les points de ventes étaient engorgés, les files d’attentes interminables. « C’est un point qu’il va falloir résoudre définitivement, plusieurs pistes sont étudiées » assure-t-il.
La 12ème édition à peine achevée, le directeur réfléchit déjà à la suivante. Une édition qui pourrait bien s’orienter vers le Cap Vert, en faisant revivre la musique de Cesaria Evora au travers de jeunes chanteurs notamment. Jérôme Galabert en est persuadé, « il y a vraiment un pont à construire, à la manière de celui avec l’Afrique du Sud ».
Après deux éditions « hors normes » ayant accueilli deux grosses têtes d’affiche, Manu Chao en 2013 et Stromae en 2014, le festival retrouvait cette année l’éclectisme d’une programmation riche en découvertes avec 51 artistes programmés sur 9 scènes.
Les organisateurs se réjouissent de l’adhésion croissante du public à cette notion de festival. Contrarié par la pluie samedi, le festival n’a cependant annulé aucun concert et les équipes ont tout mis en oeuvre pour que des groupes puissent se produire sur d’autres scènes durant l’interruption momentanée du concert de Julien Doré.
Implanté sur la plage de Ravine Blanche, le festival jouit d’un site superbe véhiculant l’image de la Réunion auprès des professionnels et médias extérieurs présents. Au terme de cette douzième édition, qui a accordé une place particulière à l’Afrique, l’esquisse de la treizième édition se dessine déjà. Les dates devraient être arrêtées d’ici un mois et elle pourrait bien faire un focus sur le Cap Vert.
Cette année, il y eu « pas mal de prise de risque, de découvertes et les gens sont venus pour ces découvertes, cela prouve que le festival répond apparemment aux attentes ». Un parti pris aux airs de retour aux sources, « on revient 3 ans en arrière où on se demandait si ça allait prendre. On est revenu à ce qu’on est et ça fait vraiment plaisir de voir que le public a répondu. »
Même la pluie, qui s’était invitée un temps le samedi soir, n’a pas perturbé la tenue des concerts. Jérôme Galabert se félicite d’ailleurs que malgré l’interruption de celui de Julien Doré, d’autres scènes ont pu continuer à fonctionner, et « la musique ne s’est jamais arrêtée ».
Et si du côté de l’organisation, l’édition 2015 s’est professionnalisée, quelques points restent toujours à peaufiner. Des améliorations ont certes été apportées au fil des années, mais le directeur du festival reste cependant attentif à ce qui peut encore poser problème. C’est notamment le cas pour l’achat des jetons pour les boissons. Durant la première soirée, les points de ventes étaient engorgés, les files d’attentes interminables. « C’est un point qu’il va falloir résoudre définitivement, plusieurs pistes sont étudiées » assure-t-il.
La 12ème édition à peine achevée, le directeur réfléchit déjà à la suivante. Une édition qui pourrait bien s’orienter vers le Cap Vert, en faisant revivre la musique de Cesaria Evora au travers de jeunes chanteurs notamment. Jérôme Galabert en est persuadé, « il y a vraiment un pont à construire, à la manière de celui avec l’Afrique du Sud ».
Communiqué de presse su SAKIFO
La douzième édition du Sakifo festival a réuni sur trois jours 20 234 festivaliers sur le site de Ravine Blanche à Saint-Pierre les 5, 6 et 7 juin (9534 vendredi, 6044 le samedi et 4656 le dimanche). « Une belle édition et une édition pas évidente », estime Jérôme Galabert, directeur du Sakifo.Après deux éditions « hors normes » ayant accueilli deux grosses têtes d’affiche, Manu Chao en 2013 et Stromae en 2014, le festival retrouvait cette année l’éclectisme d’une programmation riche en découvertes avec 51 artistes programmés sur 9 scènes.
Les organisateurs se réjouissent de l’adhésion croissante du public à cette notion de festival. Contrarié par la pluie samedi, le festival n’a cependant annulé aucun concert et les équipes ont tout mis en oeuvre pour que des groupes puissent se produire sur d’autres scènes durant l’interruption momentanée du concert de Julien Doré.
Implanté sur la plage de Ravine Blanche, le festival jouit d’un site superbe véhiculant l’image de la Réunion auprès des professionnels et médias extérieurs présents. Au terme de cette douzième édition, qui a accordé une place particulière à l’Afrique, l’esquisse de la treizième édition se dessine déjà. Les dates devraient être arrêtées d’ici un mois et elle pourrait bien faire un focus sur le Cap Vert.