L’UNSA PNC a déposé un préavis de grève illimitée pour le 2 Juillet 2015. Sans négociation entre les syndicalistes et la direction d’air Austral, les départs en vacances risquent d’être perturbés.
Les jours passent et la date butoir du 2 Juillet 2015 approche. Si la direction d’Air Austral ne négocie pas avec les représentants syndicaux de l’UNA personnel navigant avant jeudi, alors la grève deviendra effective.
La menace a pris forme le 23 Juin 2015, sous la forme d’un communiqué de l’UNSA. Les auteurs de ce message affirmaient vouloir établir : « un vrai dialogue social basé sur la confiance et le respect ».
Dimanche dans un second communiqué, les syndicalistes ont souligné que devant : « le refus à ce jour de la direction générale d’Air Austral de se mettre autour de la table de négociations », et, « face aux fins de non recevoir de la direction générale, l’UNSA ne pourra que recourir à l’arrêt de travail pour se faire entendre ».
Pour mémoire, les grévistes demandent une augmentation de salaire du personnel navigant commercial de 150 euros brut : « à minima », et « l’amélioration des conditions de travail ».
Reportage Michelle Ozoux et Daniel Fontaine
La Direction Générale d'Air Austral a toujours gardé la porte ouverte aux discussions et ce dès le premier jour du dépôt de préavis :
Aussi, la Direction Générale d'Air Austral affirme encore ce jour que le dialogue reste ouvert. Elle est face aujourd'hui à l'intransigeance de l'UNSA qui est enfermé dans son combat interne avec un autre syndicat au risque de nuire à la compagnie.
Air Austral étudie actuellement tous les moyens à tous les niveaux (juridique, réglementaire et opérationnel) pour garantir à ses passagers la bonne exécution de son contrat de transport et ce pour que ce mouvement n'ait pas d'impact sur le départ en vacances des Réunionnais.
Air Austral rappelle par ailleurs que tout sera mis en œuvre afin d'éviter toute perturbation sur ses vols si le conflit venait à se confirmer.
La menace a pris forme le 23 Juin 2015, sous la forme d’un communiqué de l’UNSA. Les auteurs de ce message affirmaient vouloir établir : « un vrai dialogue social basé sur la confiance et le respect ».
Dimanche dans un second communiqué, les syndicalistes ont souligné que devant : « le refus à ce jour de la direction générale d’Air Austral de se mettre autour de la table de négociations », et, « face aux fins de non recevoir de la direction générale, l’UNSA ne pourra que recourir à l’arrêt de travail pour se faire entendre ».
Pour mémoire, les grévistes demandent une augmentation de salaire du personnel navigant commercial de 150 euros brut : « à minima », et « l’amélioration des conditions de travail ».
Reportage Michelle Ozoux et Daniel Fontaine
La direction affirme garder la porte du dialogue ouverte
CommuniquéLa Direction Générale d'Air Austral a toujours gardé la porte ouverte aux discussions et ce dès le premier jour du dépôt de préavis :
- Le 23 juin, jour de dépôt du préavis, le Président Directeur Général a invité et a rencontré les représentants syndicaux de l'UNSA afin de leur faire part du non sens de ce préavis et de son impossibilité de négocier sauf dans le cadre des prochaines NAO,
- Une réunion de travail informelle a par ailleurs été organisée à l'initiative de la Direction Générale le vendredi 26 juin dernier,
- La Direction des Ressources humaines a également proposé une réunion de discussions dimanche dernier, proposition déclinée par l'UNSA.
Aussi, la Direction Générale d'Air Austral affirme encore ce jour que le dialogue reste ouvert. Elle est face aujourd'hui à l'intransigeance de l'UNSA qui est enfermé dans son combat interne avec un autre syndicat au risque de nuire à la compagnie.
Air Austral étudie actuellement tous les moyens à tous les niveaux (juridique, réglementaire et opérationnel) pour garantir à ses passagers la bonne exécution de son contrat de transport et ce pour que ce mouvement n'ait pas d'impact sur le départ en vacances des Réunionnais.
Air Austral rappelle par ailleurs que tout sera mis en œuvre afin d'éviter toute perturbation sur ses vols si le conflit venait à se confirmer.