L’enquête des gendarmes de l’Ente-Deux se poursuit. Les 4 mineurs suspectés du viol d’une collégienne ont été remis en libertés. La victime présumée n’aurait pas dit toute la vérité.
3 collégiens et un lycéen ont été interpellés mercredi matin par les gendarmes de l’Entre-Deux.
Les quatre adolescents ont immédiatement été placés en garde vue pour une affaire de viol en réunion sur une collégienne. Selon, les explications de la victime, ils l’avaient emmenée dans une maison à l’abandon, de la rue Payet, pour abuser d’elle.
Une version crédibilisée par son absence à la sortie de l’établissement scolaire à la fin des cours et par l’état dans lequel sa famille d’accueil l’avait trouvée errant dans les rues de cette commune des hauts du Sud.
Des adolescents fragiles
Après moins de 24 heures d’enquête, les militaires avec l’accord du parquet de Saint-Pierre ont levé la garde à vue des suspects. Trois des quatre mis en cause ont toujours nié avoir participé à un viol et le quatrième a concédé avoir eu un rapport sexuel consenti avec la collégienne.
Des versions des faits jugées crédibles qui seraient en partie corroborées par les expertises médicales et psychiatriques de la victime.
L’enquête n’est pas pour autant refermée. Le procureur de la République de Saint-Pierre et les gendarmes cherchent à savoir pourquoi, ces mineurs psychologiquement fragiles étaient hors du collège en milieu d’après-midi.
Les quatre adolescents ont immédiatement été placés en garde vue pour une affaire de viol en réunion sur une collégienne. Selon, les explications de la victime, ils l’avaient emmenée dans une maison à l’abandon, de la rue Payet, pour abuser d’elle.
Une version crédibilisée par son absence à la sortie de l’établissement scolaire à la fin des cours et par l’état dans lequel sa famille d’accueil l’avait trouvée errant dans les rues de cette commune des hauts du Sud.
Des adolescents fragiles
Après moins de 24 heures d’enquête, les militaires avec l’accord du parquet de Saint-Pierre ont levé la garde à vue des suspects. Trois des quatre mis en cause ont toujours nié avoir participé à un viol et le quatrième a concédé avoir eu un rapport sexuel consenti avec la collégienne.
Des versions des faits jugées crédibles qui seraient en partie corroborées par les expertises médicales et psychiatriques de la victime.
L’enquête n’est pas pour autant refermée. Le procureur de la République de Saint-Pierre et les gendarmes cherchent à savoir pourquoi, ces mineurs psychologiquement fragiles étaient hors du collège en milieu d’après-midi.