Toutes les îles de la zone Est de l’océan Indien sont mobilisées pour retrouver d’éventuels débris du vol MH370. A La Réunion, aux Maldives et à Maurice des objets, pouvant provenir du triple 7, ont été trouvés.
La découverte d’un flaperon (morceau d’aile), provenant probablement du vol MH370 disparu le 8 Mars 2014, et de plusieurs objets recouverts d’inscriptions en Malais ont relancé les recherches.
A Pékin en Chine, des proches des 239 passagers de l’avion introuvable se sont rendus à l’aéroport pour rencontrer les autorités Malaisiennes nous apprend le site de TVA Nouvelles. Ces familles veulent venir à La Réunion sur la plage de Saint-André pour se recueillir et chercher des nouveaux indices.
Sur place, la préfecture, à la demande du gouvernement et grâce aux moyens de l’armée, quadrille une zone de 5000 km2 à l’Est du département. Sur terre, les gendarmes de la compagnie de Saint-Benoît parcourent les plages de galets de l’Est en quête du moindre indice.
Une valise à Maurice
L’île Maurice, dite l’île sœur, est à environ 200 kilomètres de La Réunion. Elle se situe également sur « route » des courants de surface de l’océan Indien allant de l’Australie vers Madagascar. Les gardes côtes mauriciens se sont lancés dans les recherches d’éventuels débris après qu’un promeneur ait découvert une bouteille de « Cactus », boisson produite et consommée en Malaisie.
Samedi 8 Août 2015, les autorités mauriciennes ont déclaré que les « coast-guard » ont : « récupéré un morceau de valise à l’îlot Gabriel », nous apprend l’Express de Maurice sur son site.
Un débris qui a été confié, pour analyse, au Forensic Science Laboratory.
Des débris aux Maldives
Les Maldives ne sont pas en reste. Là-bas aussi, des objets suspects ont été retrouvés sur les plages. Là, encore, il faudra attendre le résultat des expertises avant de savoir d’où viennent les débris.
Reste une vaste énigme, Madagascar. L’Est de la Grande-Ile est constitué de kilomètres de plages sur lesquels les vagues de l’océan Indien viennent s’échouer. Difficile, pour ne pas dire impossible, d’inspecter cette côte dans son ensemble. Pourtant, c’est là que les débris emportés par les courants de surface circulant d’Est en Ouest terminent leur course. Il est fort probable que de nombreux indices soient échoués sur cette terre…
Des indices, mais aucune piste
Cette disparition inexpliquée intéresse toujours les médias. La découverte du morceau d’aile d’un Boeing 777 sur la plage de Saint-André a relancé les spéculations. Pourtant 17 mois après les premières recherches de nombreuses questions restent sans réponse. DH.be relai le sentiment de Ghyslain Wattrelos, père et époux de trois disparus, interviewé sur I-Télé au sujet du flaperon : « Ce n'est pas un débris, mais des centaines de débris qu'on doit retrouver. Un seul débris au bout de seize mois, c'est extrêmement louche » et, comme les familles chinoises des disparus de faire part de son scepticisme : « L'Australie dit que cette découverte confirme la zone de crash, mais ça ne confirme rien du tout. Je ne crois pas, depuis le début, que l'avion est tombé là où on nous l'a dit ».
En attendant, le résultat des analyses des experts toulousains, des océanographes sur le parcours éventuels du flaperon et d’éventuelles découvertes le mystère demeure.
Les recherches continuent sur le front de mer de Saint-André.
A Pékin en Chine, des proches des 239 passagers de l’avion introuvable se sont rendus à l’aéroport pour rencontrer les autorités Malaisiennes nous apprend le site de TVA Nouvelles. Ces familles veulent venir à La Réunion sur la plage de Saint-André pour se recueillir et chercher des nouveaux indices.
Sur place, la préfecture, à la demande du gouvernement et grâce aux moyens de l’armée, quadrille une zone de 5000 km2 à l’Est du département. Sur terre, les gendarmes de la compagnie de Saint-Benoît parcourent les plages de galets de l’Est en quête du moindre indice.
Une valise à Maurice
L’île Maurice, dite l’île sœur, est à environ 200 kilomètres de La Réunion. Elle se situe également sur « route » des courants de surface de l’océan Indien allant de l’Australie vers Madagascar. Les gardes côtes mauriciens se sont lancés dans les recherches d’éventuels débris après qu’un promeneur ait découvert une bouteille de « Cactus », boisson produite et consommée en Malaisie.
Samedi 8 Août 2015, les autorités mauriciennes ont déclaré que les « coast-guard » ont : « récupéré un morceau de valise à l’îlot Gabriel », nous apprend l’Express de Maurice sur son site.
Un débris qui a été confié, pour analyse, au Forensic Science Laboratory.
Des débris aux Maldives
Les Maldives ne sont pas en reste. Là-bas aussi, des objets suspects ont été retrouvés sur les plages. Là, encore, il faudra attendre le résultat des expertises avant de savoir d’où viennent les débris.
Reste une vaste énigme, Madagascar. L’Est de la Grande-Ile est constitué de kilomètres de plages sur lesquels les vagues de l’océan Indien viennent s’échouer. Difficile, pour ne pas dire impossible, d’inspecter cette côte dans son ensemble. Pourtant, c’est là que les débris emportés par les courants de surface circulant d’Est en Ouest terminent leur course. Il est fort probable que de nombreux indices soient échoués sur cette terre…
Des indices, mais aucune piste
Cette disparition inexpliquée intéresse toujours les médias. La découverte du morceau d’aile d’un Boeing 777 sur la plage de Saint-André a relancé les spéculations. Pourtant 17 mois après les premières recherches de nombreuses questions restent sans réponse. DH.be relai le sentiment de Ghyslain Wattrelos, père et époux de trois disparus, interviewé sur I-Télé au sujet du flaperon : « Ce n'est pas un débris, mais des centaines de débris qu'on doit retrouver. Un seul débris au bout de seize mois, c'est extrêmement louche » et, comme les familles chinoises des disparus de faire part de son scepticisme : « L'Australie dit que cette découverte confirme la zone de crash, mais ça ne confirme rien du tout. Je ne crois pas, depuis le début, que l'avion est tombé là où on nous l'a dit ».
En attendant, le résultat des analyses des experts toulousains, des océanographes sur le parcours éventuels du flaperon et d’éventuelles découvertes le mystère demeure.
Les recherches continuent sur le front de mer de Saint-André.